Le conflit entre l’Iran et les forces occidentales et israéliennes s’est aggravé au cours des dix derniers jours. Face à cette situation tendue, l’administration américaine a longtemps hésité sur la conduite à tenir, balançant entre intervention et modération diplomatique.
Après plusieurs jours d’incertitude, le président Donald Trump a finalement décidé d’autoriser des frappes ciblées contre les installations nucléaires iraniennes les plus stratégiques. Cette décision vise explicitement à démanteler les capacités nucléaires de Téhéran. Washington souligne que cette intervention ne constitue pas une déclaration de guerre contre la République islamique, mais une action spécifique contre son programme nucléaire.
La Russie condamne une « agression non provoquée »
Le président Vladimir Poutine a vivement réagi à ces frappes lors d’une rencontre avec le ministre des Affaires étrangères iranien Abbas Araghchi à Moscou. Le dirigeant russe a qualifié les bombardements américains d’attaque injustifiée et sans fondement contre un allié proche du Kremlin. Malgré ses critiques acerbes, Poutine n’a pas annoncé de soutien militaire concret à l’Iran.
Cette escalade intervient dans un contexte déjà tendu, marqué par des échanges de tirs répétés entre l’Iran et Israël. Les autorités iraniennes ont riposté aux bombardements israéliens par des attaques contre le territoire de l’État hébreu, alimentant un cycle de violence préoccupant.
Médiation russe et enjeux géopolitiques
Moscou propose désormais sa médiation pour résoudre cette crise régionale. Le Kremlin cherche à jouer un rôle d’arbitre tout en soutenant diplomatiquement son partenaire iranien. Cette position s’avère délicate, notamment compte tenu des accusations occidentales selon lesquelles Téhéran fournirait des drones à la Russie pour son conflit ukrainien.
Trump n’a d’ailleurs pas manqué de moquer Poutine, lui demandant de régler ses propres conflits avant de vouloir jouer un quelconque rôle dans celui qui sévit actuellement entre l’Iran et Israël. Les consultations entre Poutine et Araghchi visent toutefois à explorer des pistes favorisant la désescalade dans cette région.




« Trump n’a d’ailleurs pas manqué de moquer Poutine, lui demandant de régler ses propres conflits avant de vouloir jouer un quelconque rôle »
Trump est en réelle diffculté. Il a fait des promesses qu’il ne peut pas tenir et son ego le supporte mal. Le conflit RUS-UKR va se régler avec la capitulation de l’Ukraine. La Russie prend son temps afin de limiter les pertes civiles UKR et militaires RU. N’en déplaise aux nains qui ne comprennent rien à la géopolitique.
»…N’en déplaise aux nains qui ne comprennent rien à la géopolitique…. »
sérieux! mdrrrrrr!
Toi tu es un géant de la géopolitique pour les nuls et cela se lit.
ces minables criminels Natanyahu et ses confrères finiront par le payer très cher
Je l’espère aussi !
« Poutine n’a pas annoncé de soutien militaire concret à l’Iran. »
La raison est que l’Iran ne l’a pas demandé !
La Russie respecte la souveraineté des autres nations
« Washington souligne que cette intervention ne constitue pas une déclaration de guerre contre la République islamique, mais une action spécifique contre son programme nucléaire. »
l’IRAN A LE DROIT DE FAIRE DU NUCLEAIRE CIVIL
et j’aime pas les théocraties, encore moins islamiques
« Washington souligne que cette intervention ne constitue pas une déclaration de guerre contre la République islamique, mais une action spécifique contre son programme nucléaire. »
Les USA n’ont pas le DROIT de bombarder quand ça leur plait pas
« Washington souligne que cette intervention ne constitue pas une déclaration de guerre contre la République islamique, mais une action spécifique contre son programme nucléaire. »
C’est une intervention illégale de toute façon !
l’ONU doit condamner ! Marre de ces mecs qui font n’importe quoi en toute impunité