Le terrorisme continue de peser lourdement sur plusieurs régions d’Afrique, en particulier dans l’ouest du continent. Des groupes armés, bien enracinés dans certaines zones rurales et frontalières, mènent régulièrement des attaques contre des civils et des installations étatiques. Les populations sont déplacées, les économies locales affaiblies, et les gouvernements confrontés à un double défi : lutter contre l’ennemi sur le terrain et renforcer l’intégrité de leurs propres structures sécuritaires.
Des membres des forces de sécurité impliqués
Au Nigeria, les autorités militaires ont récemment annoncé l’arrestation de plusieurs personnes accusées d’avoir facilité, par leurs actions, les activités de groupes terroristes. D’après une déclaration faite mercredi par Ademola Owolana, porte-parole de l’armée, et relayée deux jours plus tard par l’AFP, ces arrestations concernent 18 soldats, 15 policiers mobiles et 8 civils. Ces personnes sont accusées d’avoir volontairement détourné des armes et des munitions des dépôts de l’armée afin de les remettre à des groupes armés opérant sur le territoire.
Une opération ciblée au cœur des failles internes
L’intervention, surnommée « Snowball », vise à démanteler un système de détournement de matériel militaire. Selon les autorités, la motivation principale des militaires incriminés serait l’intérêt financier. Ce type de comportement, en plus de compromettre les opérations en cours contre les groupes terroristes, alimente un sentiment de méfiance et d’instabilité au sein de l’armée elle-même. Il montre aussi à quel point la sécurité peut être compromise lorsque la menace vient de l’intérieur.
Renforcer les dispositifs de contrôle
La situation au Nigeria met en lumière un problème plus large de discipline et de supervision dans certaines forces armées confrontées à des conflits prolongés. Lorsque des armes censées défendre le pays se retrouvent entre les mains de ceux qui l’attaquent, les conséquences sont lourdes : des vies sont mises en danger, les efforts de stabilisation sont retardés, et les groupes armés en sortent renforcés. Pour éviter de nouvelles dérives, des mécanismes de surveillance plus stricts et des sanctions systématiques sont indispensables.
L’opération en cours constitue une réponse ferme à une trahison grave, mais elle souligne aussi l’urgence d’une vigilance permanente. Car dans le combat contre le terrorisme, chaque faille interne devient une force supplémentaire pour l’adversaire.

Je peux croire que de tels comportements ne se retrouvent pas dans les forces armées béninoises. Cependant rien n’est sûr. Dans un monde qui change et les hommes qui changent avec, dire que des individus gagnent des émoluments de millions par mois au titres ronflants de honorables, ministres conseillers etc. Et qu’on envoie des gens risquer leurs vies pour cent milles francs voire aux plus cent cinquante mille francs par mois; la différence de traitement est d’une injustice criarde et peut inciter à avoir des idées pas tout à fait catholiques.
Quand dans le même pays, il y en a qui gagnent l’argent pour ne rien faire de substantiel (salaires politiques) pendant que d’autres tirent le diable par la queue pour être au-dessus de l’eau, les hommes deviennent ingénieux.
C est connu..que l ADN des Nigerians..est composé à 99 pour cent..de la cu pidite.. vénal
Dans ce cas.. précis..ces gens là donnent des ar mes pour que les terro tue nt..les collègues
Il faut pas les juger…
Ils creusent..leur propre to mbe commune..et on les ex ecute..avec ces ar mes..et ceci en public
Ça fera réfléchir..les autres