À l’approche des prochaines échéances électorales au Bénin, la question de la désignation des candidats s’impose comme un enjeu crucial, capable de déterminer l’issue du scrutin. Dans l’arène politique béninoise, qu’il s’agisse de l’opposition ou de la majorité la désignation des candidats se heurte au flou qui laisse pour le moment perplexe. Une analyse approfondie de cette dynamique est indispensable pour éviter que le Bénin ne tombe dans un piège. La préparation du scrutin de 2026 ne se résume pas à une simple équation électorale. Il s’agit d’une phase politique cruciale où chaque camp doit faire preuve de lucidité dans la sélection de ses porte-étendards. Miser uniquement sur des considérations symboliques, sur l’héritage d’une figure historique ou sur un certain effet de notoriété comporte des risques, notamment celui de ne pas répondre efficacement aux attentes concrètes des citoyens. Un peu comme au Sénégal, il y a quelques mois, dans le scénario Sonko – Faye, un soutien populaire a plébiscité un candidat préalablement inattendu à ce niveau au poste de président de la République. Aujourd’hui, la thèse d’une probable trahison a commencé par circuler. Les camps politiques béninois ne sont pas loin de ce piège avec leur situation actuelle.
La ferveur populaire, un leurre pour l’opposition ?
Du côté de l’opposition béninoise, une certaine confiance, nourrie par ce qu’elle perçoit comme une ferveur et un soutien populaire, pourrait conduire à un raccourci dangereux. L’idée que « même si c’est un rat qui est désigné les gens voteront pour lui », reflète une conviction que le simple fait de s’opposer au régime en place suffirait à garantir la victoire, quelle que soit la qualité intrinsèque du candidat. Cette logique s’apparente à celle qui a porté Bassirou Diomaye Faye à la présidence du Sénégal. Inconnu du grand public quelques mois avant l’élection, son élection a été perçue comme un vote sanction contre le pouvoir en place et une adhésion au projet porté par Ousmane Sonko et sa popularité fulgurante. Certes, le cas sénégalais a démontré la puissance de l’expression du peuple et la capacité d’un mouvement à propulser un candidat inattendu. Cependant, le Bénin n’est pas le Sénégal, et chaque contexte politique a ses spécificités. Mieux, de nombreux jeunes sénégalais pensent aujourd’hui qu’ils sont trahis par certains actes de Faye. Miser uniquement sur un éventuel « soutien populaire » ou sur le charisme d’une figure tutélaire, comme l’ancien président Boni Yayi pour Les Démocrates, sans une évaluation rigoureuse de la capacité du candidat désigné à incarner un projet crédible et à rassembler au-delà de sa base, serait une erreur stratégique. La ferveur peut être éphémère si elle n’est pas ancrée dans des propositions concrètes et une réelle connexion avec les préoccupations quotidiennes des citoyens. L’enthousiasme initial peut rapidement laisser place à la désillusion si les attentes ne sont pas satisfaites, comme en témoignent les premières critiques à l’encontre de l’administration Faye au Sénégal. 🔥 « Restez branché à l’actu béninoise sur notre chaîne WhatsApp officielle ! » en cliquant sur ce lien https://whatsapp.com/channel/0029VaCgIOFL2ATyQ6GSS91x
Le leadership inébranlable, un risque pour la majorité?
Dans le camp de la majorité présidentielle au Bénin, la situation présente une dynamique miroir. On mise fortement sur le leadership incontesté de Patrice Talon, avec la conviction que le succès électoral sera au rendez-vous. La majorité présidentielle bénéficie d’un socle structuré et d’une continuité dans l’action, incarnée par l’expérience et le bilan du chef de l’État. Toutefois, la désignation du candidat pour 2026 devra s’appuyer sur une lecture attentive des attentes citoyennes. Il s’agira de concilier la poursuite des réformes engagées avec une capacité de renouvellement et d’écoute, afin de mobiliser largement au-delà des soutiens acquis.
La suite de cet article est réservé aux abonnés: Connectez-vous si vous avez déjà un abonnement ou abonnez-vous ici
Bientôt…tous les tohossou.. payés avec l argent du contribuable.. pour venir dans les réseaux sociaux.. nous narguer..nous chercher bouche… seront au chômage…
Les béninois..sont pressés..de tourner..vos pages…
Quant.. à moi…je crois qu on doit..les rafler..et les soumettre.. à des petites questions.. à l abri des regards..vers chez moi.. là bas
Aziz dans ses élucubrations habituelles. Depuis plus de 10 ans, tu ressors les mêmes balivernes et des prédictions qui se sont toujours révélées sans suite. Il en sera de même demain, et dans un an au terme des élections générales au Benin.
Sur quels sondages t’appuies tu pour prétendre que les rupturiens seraient rejetés ? les actes et réalisations aussi bien en matière d’infrastructures économiques et sociales ne font plus l’ombre d’un doute. On poursuivra le bilan sur cette période pré électorale. Qui est en face : l’inspirateur Yayi Boni, le docteur en DÉSORDRE économique qui a parlement le pays d’éléphants blancs, de népotisme, de concours frauduleux, de crimes non encore élucidés (Dangnivo, Dame Agbossou).
Plus jamais ces incompétents au pouvoir au Benin.
Comme à l’accoutumée, on se retrouvera en avril 2026 pour dresser le bilan des joutes électorales qui confirmeront la poursuite de la dynamique Talon.
DODJIVI…tu restes l’un des meilleurs du site….
Aziz dans ses élucubrations habituelles.😍🤩☺️
Bientôt..tu viendras s excuser…
Juste avant 70..le directoire avait organisé..une élec tion..et c était un chao total..a tel point..le Bénin était en gue rre ci vile..je pèse bien mes mots…
Ces éle ctions furent annulées…on connaît la suite
Je vois..le même scénario.. même si le contexte n est pas le même
Ce co de.. diabo lique..va ex ploser..le pays..et vous le savez très bien..
Kim.. fait l erreur de croire que cette fois ci..les insti tutions vont le suivre.. bidasses..limiers et sa jus tice privée
Les gens à la tête de nos instit utions..pensent à court terme..sur leurs avenirs..
Ils savent..qu ils prendront des gros ris ques..en exé cutant..les ord res de Kim.. comme en 2019..2021..2023.. puisqu’ ils ne seront pas sûrs d être couverts
En 1970……
Dégage menteur…tu étais éleveur….comment pouvais tu avoir des infos sur les élections …et les peulhs ne scolarisent pas leurs enfants avant 12 ans….
sacraboubou …sia! lonyou lonyou …le vodoun Fonds Monétaire Peulh
Aziz le sultan, il vous est posé une digne et sociologique et anthropologique question scientifique par le très objectif et bon DODJIVI
Sur quels sondages t’appuies tu pour prétendre que les rupturiens seraient rejetés ?….aucune depuis plus de 10 ans…..arrêtez vos zanneries
C’est rès bien d’interpeller vigoureusement et scientifiquement le blaireau d’Aziz….en espérant qu’il va un peu plus réfléchir prochainement
Mes intuitions.. analyses prospectives.. basées sur du factuel..
Ma parfaite connaissance dans les détails..le genre béninois..sa psychologie…
Dis je…je ne crois pas qu’il aura élections.. chez nous…
Aucun paramètre..ne m indique qu il aura élections..
Le chao..sera tel..je vois l intervention..salutaire d une institution..
Baser une éle ction..sur les actes positifs.. posés par un gouver nement..est une illusion…
Les rupt uriens..sont reje tés…mais je ne vois pas..une adhésion inconditionnelle..aux démocrates..
tes intuitions de bovins ….c’est quand même limites…mais nous on votera pour toi pour le changement révolutionnaire…
Prêt pour la révolution des bovins d’Aziz….