Avant d’entamer son second mandat, Donald Trump avait mis les droits de douane au centre de sa politique commerciale. Il avait annoncé l’instauration de taxes élevées sur les importations provenant notamment du Mexique, du Canada et de la Chine, espérant ainsi protéger les industries locales et accroître les recettes publiques. Cette démarche avait aussi pour objectif de faire pression sur ses partenaires pour renégocier des accords commerciaux plus favorables. Pourtant, malgré ces mesures, les comptes financiers de la nation ne montrent pas d’amélioration significative.
Une hausse des besoins financiers malgré des recettes douanières accrues
Sur la période allant d’octobre à juin, le besoin de financement a augmenté de 64 milliards de dollars, atteignant 1 400 milliards, contre un peu plus de 1 300 milliards lors de la même période l’année précédente. Selon les données publiées vendredi par le département du Trésor, bien que les recettes générées par les droits de douane aient fortement augmenté — 113 milliards de dollars en un an — les dépenses restent largement supérieures aux rentrées d’argent.
Les droits de douane : un outil limité face aux enjeux économiques
Les mesures tarifaires ont été mises en avant pour soutenir l’économie locale et corriger des déséquilibres commerciaux. Néanmoins, elles ont aussi provoqué des hausses de prix pour les consommateurs et des ripostes commerciales de la part des pays ciblés. L’argent récupéré via ces taxes ne compense pas l’ampleur des dépenses publiques et les autres pressions économiques qui pèsent sur les finances nationales. Cette politique apparaît ainsi davantage comme une mesure partielle plutôt qu’une réponse complète aux difficultés économiques.
Une alerte sur la santé financière américaine
Le fait que les besoins financiers continuent à augmenter, malgré les rentrées issues des droits de douane, révèle la fragilité du système économique actuel. Cela souligne que s’appuyer uniquement sur ces taxes pour redresser la situation n’est pas suffisant. Il devient nécessaire de réfléchir à une gestion plus équilibrée, intégrant à la fois les recettes, les dépenses et les relations commerciales internationales. La stratégie de protectionnisme menée par Trump montre ainsi ses limites lorsqu’elle est employée seule, rappelant que la maîtrise des finances publiques exige une approche plus globale.




C’est au Congrés de s’occuper des droits de douane. Le POTUS peut le faire sans son avis s’il invoque des raisons de sécurité nationale. Ce qui signifie qu’implicitement Trump reconnait que l’économie des USA est en grande difficulté.
Contrairement à ce que racontent les hotus de ce forum, l’hégémon est en voie de désagrégation avancée
Pas oublier que c’est lorsque la bête est blessée à mort qu’elle est la plus dangereuse. Sachant que les USA se permettait déjà d’aller bombarder des pays sans raison valable, on peut se dire que le pire est à venir.
Trump n’en a pas fait mystère. Les USA ont détruit leur industrie. Sa politique tarifaire vise à « importer » les industries des autres pays. Trankil … « J’importe vos industries et en échange je vous file mon chômage. »
Peu de chances que ça marche. Sa « stratégie » est trop brouillonne. Trop de contradictions, d’effets boomerang, de changements de cap improvisés. Les industries doivent avoir une visibilité à 5-10 ans. Avec Trump, tout change en 24 heures. Impossible d’investir là-bas.
Il arrive trop tard de toute façon
Impact dans …. (on sait pas encore mais on sait qu’il y en aura un)
Trump a imposé les tarifs de douane sans la participation du Congres américain, donc tarifs illégaux, même l’Organisation Mondiale du Commerce est en plein désaccord avec Trump et son « Ordre Exécutif ». Le jour apparaitra où ces tarifs seront tous déclarés illégaux et le gouvernement américain va procéder à rembourser aux entreprises les tarifs accumulés par Trump.
Une sale politique qui n’a ni tête ni queue.
Les droits de douane, ça marche pas