La controverse enfle aux États-Unis après les accusations lancées par Donald Trump, réélu président en janvier 2025, contre la chanteuse Beyoncé. Sur sa plateforme Truth Social, il affirme que cette dernière aurait perçu 11 millions de dollars en échange de son soutien public à Kamala Harris lors de la dernière campagne présidentielle. Une allégation que les documents de la Commission électorale fédérale (FEC) ne corroborent pas.
Un paiement contesté
Selon Donald Trump, la société de Beyoncé, Parkwood Entertainment, aurait bénéficié de fonds issus de la campagne démocrate dans des conditions illégales. Il dénonce des « honoraires ridicules » qui auraient été, selon lui, « incorrectement comptabilisés dans les livres et registres ». Le président estime que le soutien d’une célébrité ne peut faire l’objet d’une rémunération et qualifie ces pratiques d’illégales.
En réalité, les registres officiels mentionnent un montant de 165 000 dollars, versé à Parkwood Entertainment, pour des frais de production liés à un événement culturel. Aucune preuve ne vient étayer les 11 millions de dollars évoqués par le chef de l’État.
Une offensive dirigée contre les figures culturelles proches des démocrates
La prise de position de Donald Trump vise plus largement les personnalités ayant affiché leur proximité avec le Parti démocrate. « Kamala, et tous ceux qui ont reçu de l’argent pour leur soutien, ont enfreint la loi. Ils devraient tous être poursuivis ! », a-t-il déclaré dans un message publié le 27 juillet.
Cette déclaration intervient dans un contexte de polarisation politique accrue, où les alliances entre culture et politique deviennent des sujets de controverse. L’intervention du président s’inscrit dans une stratégie plus vaste visant à remettre en cause la légitimité des soutiens médiatiques au sein de la sphère démocrate.
Aucun signalement de la FEC
Jusqu’à présent, la FEC n’a enregistré aucun manquement aux règles de financement de campagne concernant les paiements effectués à Beyoncé ou à sa société. L’artiste, qui avait publiquement soutenu Kamala Harris, n’a pas réagi publiquement aux propos du président.
Cette nouvelle sortie du président américain relance le débat sur le rôle des célébrités dans les campagnes électorales, leur rémunération éventuelle et la frontière entre engagement personnel et prestation professionnelle.




Trump est un véritable « Pussy ».
Est-ce que Trump pense un peu avant d’aller sur sa plateforme « Truth Social » pour raconter que des âneries? Un râleur jamais satisfait et jealous.
Trump a reçu des Émirats « Qatar » un Boeing d’une valeur plus $450 millions de dollars, un cadeau contre la Constitution. Et déjà Trump a commencé à siphonner plus de $930 millions de dollars du budget de Pentagone pour moderniser son cadeau; alors que cette somme est réservée pour la maintenance des sites de silos nucléaires à travers le pays qui commencent à se détériorer, car ils dataient des années 60s.
Trump met ses priorités avant celles des USA.
Un orgueilleux fieffé!
« Trump met ses priorités avant celles des USA »
Cite m’en un qui ne fait pas ça ?
Est-ce que tu sais lire ou tu lis à l’aveuglette ou entre les lignes?
Je venais de te citer Trump comme exemple.
Que veux-tu de plus?
C’est à ton tour de nous citer ceux/celles que tu connais.