Sous l’effet d’une nouvelle vague de révélations, la Maison-Blanche a réagi vivement aux informations selon lesquelles le président américain Donald Trump aurait été informé, dès le mois de mai, que son nom figurait dans des documents du département de la Justice en lien avec Jeffrey Epstein, le financier décédé reconnu coupable d’abus sexuels.
Une mention sans implication directe
D’après le Wall Street Journal, c’est à l’occasion d’un briefing régulier que la procureure générale Pam Bondi aurait signalé au président que son nom apparaissait parmi des centaines d’autres dans les dossiers fédéraux relatifs à Epstein. Aucune accusation n’est formulée, et cette mention ne constituerait ni preuve d’infraction, ni élément à charge.
Cette information intervient dans un contexte de forte demande de transparence concernant les personnalités ayant côtoyé Epstein. Plusieurs documents récemment dévoilés mentionnent des figures politiques, économiques et culturelles d’envergure, souvent sans lien formel avec les actes poursuivis.
Réplique immédiate de la présidence
Un porte-parole de la présidence a dénoncé un « fake news story », minimisant la portée des informations publiées par la presse. Cette ligne défensive s’inscrit dans une stratégie plus large visant à préserver l’image du président dans un climat médiatique particulièrement attentif à ses anciens liens avec Epstein.
Donald Trump avait reconnu par le passé avoir fréquenté Epstein, notamment au début des années 2000, tout en affirmant s’en être éloigné depuis une brouille survenue en 2004. En 2024, au cours de sa campagne présidentielle, il s’était engagé à faciliter la publication de tous les documents liés à Epstein dans un souci de transparence.
L’opinion attend toujours des éclaircissements
Depuis le décès d’Epstein en détention en 2019, les appels à la vérité ne faiblissent pas aux États-Unis. Les investigations en cours et les publications successives de documents judiciaires nourrissent un débat national sur les protections dont aurait bénéficié Epstein durant ses années d’activités illégales.
Pour de nombreux observateurs, la diffusion partielle des dossiers ne permet qu’une lecture incomplète de l’étendue de son réseau d’influence, laissant subsister des doutes sur les complicités passées et l’éventuelle complaisance institutionnelle.




Tout le monde saît que Trump était pote avec Epstein et que sa moralité est plus que douteuse. 1+1=?
Micron avec son mari, Trump avec Epstein, Obama avec ses casseroles …. c’est l’heure du grand déballage, on dirait. Chacun va sortir ses dossiers su rles autres.
Une chose est sure, aucun n’est clean