La présence de la Russie au Niger s’intensifie avec une nouvelle dynamique axée sur la reprise des mines d’uranium et la mise en place d’un programme nucléaire civil. Lors d’une visite à Niamey, le ministre russe de l’Énergie, Sergueï Tsiviliov, a officialisé un partenariat stratégique ce 28 juillet avec les autorités locales, visant à renforcer la coopération dans ces secteurs clés.
Des sites miniers au cœur des discussions, sans confirmation précise
Si la collaboration russo-nigérienne est désormais actée, les informations concernant les sites d’extraction concernés demeurent confidentielles. Selon ce que rapporte Le Monde, il n’a pas été confirmé que les installations actuellement exploitées par le groupe français Orano seraient reprises par des intérêts russes. Ce silence sur les détails atteste des négociations délicates autour de la gestion de ces ressources majeures.
L’intention russe de s’imposer dans l’extraction d’uranium se manifeste clairement, avec l’objectif d’étendre son influence dans ce secteur stratégique au cœur des approvisionnements mondiaux en matières premières nucléaires.
Une stratégie combinée : exploitation minière et énergie nucléaire
Au-delà de l’extraction, le partenariat comprend une dimension industrielle visant à bâtir un système complet de production nucléaire civile. Sergueï Tsiviliov a souligné que la démarche ne se limite pas à l’extraction d’uranium, mais englobe la création d’une filière nucléaire nationale intégrée, avec pour ambition d’accompagner le développement énergétique du Niger. Le ministre a insisté : « Notre tâche est non seulement de participer à l’extraction de l’uranium, mais de créer tout un système de développement du nucléaire civil au Niger ».
Cette double approche montre la volonté de la Russie d’assurer une présence pérenne et diversifiée, mêlant ressources naturelles et technologies avancées.
Une situation régionale marquée par la compétition internationale
La montée en puissance russe dans ce domaine intervient au cœur de rivalités géopolitiques où plusieurs puissances cherchent à sécuriser leur accès aux ressources africaines. Le Niger, riche en uranium, devient ainsi un terrain stratégique où les intérêts économiques et politiques s’entremêlent.
Pour le pays, ce partenariat peut offrir un levier supplémentaire dans sa politique énergétique et économique, tout en soulevant des questions sur la gestion et le contrôle des ressources minières.
Cette nouvelle étape dans la coopération russo-nigérienne met en lumière un projet ambitieux qui conjugue reprise minière et développement nucléaire civil, tout en restant entouré d’incertitudes quant à la nature précise des engagements sur le terrain.
»Uranium du Niger : la Russie veut remplacer la France et construire une centrale nucléaire… »
Ah oui! Ce n’est pas une seule centrale nucléaire que la Russie devrait contruire, mais une dizaine; ainsi les très nombreux crève-la-dalle du niger mangeraient les déchets issus de ces centrales.
Bien joué Tiani!
Niaiserie. Quand on a rien à pondre ; on la boucle. Élevez le débat ici.
Vas là-bas.
Tchrous !!!!!
Juste un écran de fumée pour bluffer l’opinion du peuple nigérien au regard des souffrances endurée actuellement par les populations.
La Russie n’a pas d’argent à donner au Niger. Elle a suffisamment de soucis avec l’Ukraine. Les Russes ne peuvent même pas toucher au stock de l’uranium de Orano ni reprendre ses exploitations sans risquer des poursuites au plan international.
Ces soi-disant experts, qui promettent le nucléaire civil (horizon de 35 ans), nev sont de la poudre aux yeux.
Mais ça permet au moins au putschiste Tiani de sauver momentanément la face.
Étonnant que ça vienne de toi. Tu as fortement besoin d’une cure de désintoxication. Ça dépend de ce que tu as commencé à fumer . De l’herbe ou la moquette ???
Cherchez l’erreur.