Deux jeunes femmes sont poursuivies devant la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) pour avoir proposé en ligne des médicaments utilisés dans le cadre d’interruptions volontaires de grossesse. Elles sont inculpées pour exercice illégal en pharmacie. Elles seront fixées sur leur sort 14 octobre prochain.
Le procès, ouvert le mardi 1er juillet 2025, a mis en lumière les rôles respectifs des deux prévenues : l’une est désignée comme la principale vendeuse des produits, tandis que l’autre est soupçonnée d’en assurer la promotion via ses plateformes numériques. Les commandes étaient exclusivement traitées en ligne, avec recours à un service de livraison.
Selon le parquet, les prévenues ont été arrêtées à la suite d’une plainte déposée par une cliente. Elles ont été placées sous mandat de dépôt après leur interpellation. Le livreur, sollicité pour assurer les distributions, est également poursuivi, mais sous convocation. Lors de l’audience, les deux jeunes femmes ont plaidé non coupable. Le livreur a affirmé avoir simplement exécuté une livraison à la demande de son employeur, sans connaissance du contenu du colis.
Deux ans de prison requis
Le ministère public a souligné les dangers que représente ce type de commerce pour la santé publique. La représentante du parquet a requis une peine de deux ans d’emprisonnement ferme, accompagnée d’une amende de deux millions de francs CFA contre chacune des deux femmes. Elle a en revanche demandé la relaxe du livreur. La défense a plaidé pour la clémence. L’avocat des prévenues a soutenu que ses clientes ignoraient la gravité juridique de leurs actes. Il a sollicité une application modérée de la loi, en insistant sur leur volonté de ne pas récidiver. 🔥 « Restez branché à l’actu béninoise sur notre chaîne WhatsApp officielle ! » en cliquant sur ce lien https://whatsapp.com/channel/0029VaCgIOFL2ATyQ6GSS91x
Tous les signes de la fin du monde..sont là..ohooo
Pourvu.. que les rupturiens.. partent tous avant nous
Amen 😈👻🤣