Ecchymoses de Trump aux États-Unis : l’étrange parallèle avec la reine Elizabeth II

Des photographies récentes du président américain montrent des taches sombres sur ses mains, devenues rapidement sujet de débats. Aux États-Unis, plusieurs médias ont relayé ces images en établissant un parallèle avec la reine Elizabeth II peu avant son décès. Cette attention traduit l’importance accordée à la santé des dirigeants, enjeu clé alors que Donald Trump a entamé un nouveau mandat.

Des marques largement commentées par la presse américaine

Les clichés de Donald Trump, âgé de 79 ans, ont circulé massivement sur les réseaux sociaux, nourrissant rumeurs et spéculations. La Maison-Blanche a expliqué que ces ecchymoses provenaient de poignées de main répétées et de la prise quotidienne d’aspirine, traitement préventif contre les risques cardiovasculaires.

Plusieurs médias américains, dont le New York Magazine et People, ont détaillé ces marques cutanées, soulignant leur ressemblance avec celles observées sur la main de la reine Elizabeth II peu avant son décès en 2022. Cette comparaison, reprise également par des sites spécialisés en santé comme Stat News, a contribué à alimenter le débat public. Dans ce contexte, la communication présidentielle a dû rappeler que le chef de l’État restait en « excellente santé ».

Un diagnostic confirmé et une surveillance médicale annoncée

Au-delà des images, le médecin présidentiel a confirmé en juillet 2025 que Donald Trump souffrait d’insuffisance veineuse chronique, une affection fréquente chez les personnes âgées, provoquant gonflements et inconfort aux jambes. Les experts consultés par la presse estiment que ces ecchymoses visibles ne sont pas liées directement à cette pathologie, mais plutôt à la fragilité cutanée et à l’usage d’aspirine.

Les recommandations portent sur un suivi médical, incluant des mesures simples comme le port de bas de compression ou l’élévation régulière des jambes. Pour certains analystes, cette transparence illustre la manière dont la santé des dirigeants devient un sujet politique autant que médical, à l’heure où chaque détail est scruté et commenté. Les services de la présidence américaine maintiennent que ces marques cutanées sont bénignes et ne compromettent pas l’exercice des fonctions officielles.

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