Alors que la guerre en Ukraine entre dans sa troisième année, Donald Trump, désormais président des États-Unis depuis janvier 2025, envisage de relancer une initiative diplomatique en proposant de rencontrer séparément Vladimir Poutine et Volodymyr Zelensky, avant d’éventuellement organiser un entretien trilatéral. Une information rapportée par le New York Times et confirmée par son équipe, qui souligne la volonté du président américain de s’impliquer personnellement dans la recherche d’une issue au conflit.
Une séquence diplomatique en préparation
Selon son entourage, Donald Trump est prêt à rencontrer les présidents russe et ukrainien « dès la semaine prochaine« , une prise de position qui pourrait marquer un tournant dans la dynamique diplomatique actuelle. Sa porte-parole, Karoline Leavitt, a indiqué que le président américain était « ouvert » à ces échanges bilatéraux, précisant que les autorités russes avaient manifesté leur intérêt pour une telle entrevue.
Cette proposition intervient dans un contexte où les efforts de médiation internationaux peinent à aboutir. Alors que plusieurs pays, dont la Suisse et la Chine, ont tenté de jouer un rôle de facilitateur ces derniers mois, aucune initiative n’a permis, jusqu’ici, d’enclencher un véritable processus de désescalade.
Un geste symbolique ou une démarche stratégique ?
La volonté de Donald Trump de rencontrer les deux dirigeants séparément, puis ensemble, soulève plusieurs interrogations. Sur le plan diplomatique, une telle démarche pourrait repositionner les États-Unis comme un acteur central dans le traitement du conflit, après une période d’approche plus distante adoptée durant les premiers mois de sa présidence.
Du côté de Moscou, l’ouverture à une rencontre pourrait s’inscrire dans une stratégie visant à obtenir un levier politique face à des sanctions persistantes, et à jauger les marges de manœuvre de la nouvelle administration américaine. Quant à Kyiv, toute discussion impliquant la Russie reste conditionnée à des garanties sur la souveraineté territoriale et le retrait des troupes étrangères, des lignes rouges que Volodymyr Zelensky a jusqu’ici fermement maintenues.
Une initiative au timing délicat
L’annonce de ces possibles rencontres survient alors que la guerre a profondément transformé l’équilibre sécuritaire en Europe de l’Est, provoquant un réarmement massif dans plusieurs pays voisins et renforçant le rôle de l’OTAN. Toute initiative américaine est donc scrutée par les alliés européens, notamment ceux de l’Est, qui restent prudents face à une éventuelle négociation directe entre Washington, Moscou et Kyiv.
Dans ce contexte, les prochains jours seront décisifs pour mesurer si cette proposition de dialogue constitue un véritable début de médiation ou un signal diplomatique sans suite immédiate. La réponse des parties concernées, notamment celle de Volodymyr Zelensky, pourrait déterminer la nature et la portée de ce nouvel épisode diplomatique.




L’ultimatum de Trump, c’était de la bêtise à l’état pur ! Quand on prétend faire plier son ennemi, il faut commencer par apprendre à le connaître !
Trump ne connait rien à rien, son cerveau n’est pas capable d’assimiler des choses complexes.
POUTINE N’A JAMAIS CEDE FACE A LA PRESSION
La bonne nouvelle, c’est qu’avec ses actions confuses et stupides, Trump catalyse la fin de l’hégémonie américaine.
Vivement que le Droit (international) et l’Ordre reviennent gére les relations entre les peuples
Dieu t’entende, quand le « Gendarme du Monde » se comporte comme un mafieux, ça sent le pourri au Royaume Danemark !
Ah! qu’est-ce qu’il ne faut pas faire pour décrocher ce Prix Nobel?
Trump ressemble à quelqu’un qui court pour rattraper le vent.
La politique domestique et étrangère donnent naissance à la candidature du Prix Nobel. Et être candidat ne signifie pas que l’épreuve est gagnée d’avance. Trump pratique depuis six mois l’autoritarisme, et sur le plan international, il chie partout avec une puanteur nauséabonde. Le rêve est permis à tout le monde, et je ne peux l’encourager de continuer à rêver sur son grand Prix de Nobel.
On va voir comment le petit nain vert va s’arranger pour saboter le coup ! Le nain veut un cessez-le-feu pour se réarmer mais il ne veut pas la paix !
Grosse nuance.
Trump veut un conflit gelé comme en Corée, ce qui serait bien sûr une énorme c****rie.
Putin s’en fout, plus la paix arrive tard, plus il aura d’oblasts. L’idéal serait de reprendre Odessa. Ce qu’il aura pris, il ne le rendra pas !
D’après ce qui se dit à Mockba, il semblerait que Putin, malgré son extrême patience vis-à-vis des gesticulations ricaines, en ait absolument ras-le-bol !
Pas exclu qu’il lâche enfin la bride à ses généraux et transforme son Opération Militaire Spéciale en Opération Anti-Terroriste. Et là, ça risque de chauffer pour les plumes de certains.
Quant au dernier ultimatum, celui qui expire vendredi soir, c’est officiel, Trump peut se le carrer dans f.i.o.n !
Les ukronazes devraient mettre leur petit Q à l’abri parce que vendredi les Russes pourrait bien fêter ça avec quelques gros pétards.
Je ne sais pas pour les gros pétard mais il y a quelques jours, les chaînes de télévision ukrainiennes diffusaient un compte à rebours indiquant le temps restant avant l’expiration de l’ultimatum de Trump
Ce compte à rebours a disparu des ondes ukrainiennes 😉
Poutine Prix Nobel de la Patience … il en faut pour gérer ces deux tarés de Trump et Zélésky
Ca y est, Donald Duck se prend pour Salomon !
Il va finir comme Néron, ce gros c.o.n
Qu’en est-il de l’ultimatum de 50 jours ramené à 12. Et puis patatra ; on envoie un émissaire se prosterner au Kremlin pendant trois heures .
Finalement ; on annonce une rencontre avec Poutine puis une autre tripartite avec Zelensky. Ce sera le 2e Yalta. Yalta pour ceux qui connaissent le récit des événements passés. Ce sera fini pour Zelensky.
Cherchez l’erreur
Trump ne sait plus quoi faire alors il fait n’importe quoi !
Le problème, c’est qu’il soutient l’Ukraine presqu’autant que Biden. C’est devenu SA guerre. Du coup, le rôle de médiateur n’est pas crédible pour les Russes.