Réunis vendredi à la Maison-Blanche, le président azerbaïdjanais Ilham Aliev et le Premier ministre arménien Nikol Pachinian ont scellé un engagement inédit : mettre fin définitivement au conflit territorial qui les oppose depuis des décennies. Une réussite que le président américain Donald Trump s’est empressé de revendiquer, affirmant avoir permis cette réconciliation grâce à sa médiation directe.
« Si ça ne marche pas, appelez-moi »
Fidèle à son style, Donald Trump a lancé à ses deux invités : « Vous allez avoir une très bonne relation. Si ce n’est pas le cas, appelez-moi et j’arrangerai ça ». Derrière cette formule se cache un accord en plusieurs volets : cessation des hostilités, ouverture des relations diplomatiques et commerciales, et reconnaissance mutuelle de la souveraineté et de l’intégrité territoriale.
Un conflit historique sur la voie de l’apaisement
Le différend entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan, centré sur le Haut-Karabakh, remonte à la fin des années 1980. Malgré plusieurs cessez-le-feu, dont celui de 2020 après une guerre meurtrière, la méfiance est restée vive. La rencontre de Washington, saluée par la Turquie, pourrait marquer un changement durable si les engagements sont respectés.
Trump met en avant son rôle d’arbitre
Le président américain, sensible à l’idée de voir son action reconnue, a souligné qu’il avait réuni personnellement les deux dirigeants et obtenu leur accord final. Ilham Aliev et Nikol Pachinian ont eux-mêmes reconnu le rôle central joué par la médiation américaine dans cette avancée. Certains proches du dossier estiment que ce type d’initiative pourrait renforcer la stature internationale de Trump.
Un précédent en Afrique et une possible ambition en Europe de l’Est
Ce n’est pas la première fois que Donald Trump se félicite d’avoir rapproché deux pays rivaux. Le 27 juin 2025, il avait déjà supervisé la signature de l’« Accord de Washington » entre la République démocratique du Congo et le Rwanda, qui avait mis fin à des années de tensions frontalières.
Reste à savoir si le président américain pourra reproduire cet exploit dans un dossier autrement plus complexe : la guerre entre la Russie et l’Ukraine, où l’hypothèse d’une table ronde commune demeure lointaine mais où Trump affirme vouloir, là encore, jouer un rôle déterminant.




Ce n’est pas du tout malin ça!
Trump court, mène une sprinte pour le Prix Nobel de la Paix.
Trump ne se verra discerné ce prix, car ses tarifs de douane risquent fort bien de lui mettre les patates dans les roues. La Norvège se trouve en Europe et détient ce pouvoir et non l’Amérique.
Trump court après le vent.
Faut faire quelque chose. Je vois 3 solutions
– donner de suite le Prix Nobel à Trompette pour qu’il passe à autre chose
– exclure Trumpette de candidats au Prix Nobel
– dissoudre le Prix Nobel de la PAIX qui pousse des gros lards à chercher aux confilts de mauvaises solutions pour de mauvaises raisons.