Le conflit entre la Russie et l’Ukraine, entré dans sa troisième année, continue d’occuper une place centrale sur la scène diplomatique internationale. En l’espace de deux jours, les deux présidents ont livré leurs visions respectives de la sortie de crise, avec des messages très différents.
Jeudi, c’est Volodymyr Zelensky qui a ouvert le bal. Le président ukrainien, intervenant devant les membres de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe, a exhorté les dirigeants mondiaux à aller au-delà des sanctions et à envisager un changement de régime à Moscou. Pour lui, sans transformation politique en Russie, les velléités de déstabilisation dans la région ne cesseront pas, même en cas de cessez-le-feu.
Ce vendredi 1ᵉʳ juillet, c’est au tour de Vladimir Poutine de réagir. Le président russe s’est exprimé lors d’un échange avec son allié biélorusse Alexandre Loukachenko. Il s’est dit favorable à une paix « durable » avec l’Ukraine, tout en précisant que les conditions fixées par Moscou demeurent inchangées. Parmi elles figure notamment l’annexion des cinq régions ukrainiennes revendiquées par la Russie. Selon lui, tout accord futur devra reposer sur ces bases, qu’il considère comme les seules garantes d’une stabilité à long terme.
Ces deux déclarations montrent à quel point les positions restent éloignées. D’un côté, l’Ukraine appelle à une révision en profondeur de la politique russe, et de l’autre, Moscou maintient des exigences jugées inacceptables par Kiev et ses alliés. L’idée d’une paix durable est évoquée par les deux camps, mais les visions de cette paix sont incompatibles dans l’état actuel des négociations.
La scène internationale observe ces prises de position avec attention. Derrière les discours, chaque mot compte, chaque nuance oriente les dynamiques diplomatiques. Pour l’heure, aucune avancée concrète n’a été enregistrée, et le conflit continue de faire des victimes et de nourrir les tensions géopolitiques.
Putin n’a pas changé son dicours depuis 3 ans et il y a plein de C0NN@RDS, dont TRUMP, qui n’ont toujours pas compris
« l’Ukraine appelle à une révision en profondeur de la politique russe »
L’Ukraine est un pays qui n’existait pas avant 1991 et qui n’existera plus après 2025. Depuis quand un minable petit comique acteur-président d’un pays en voie de disparition dicte sa loi à une puissance mondiale ?
Zeelenski est un mort qui marche encore … mais plus pour très longtemps !