Après avoir tenté de relancer un dialogue pour mettre un terme au conflit en Ukraine, Donald Trump s’est dit déçu par l’absence de réponse de Vladimir Poutine. À la suite des frappes sanglantes sur Kiev, le président américain a décidé de hausser le ton ce jeudi, en posant un ultimatum d’une semaine à Moscou pour interrompre les hostilités. Il prévoit dans le même temps un nouveau train de sanctions, visant non seulement la Russie, mais aussi les pays qui continuent à entretenir des échanges stratégiques avec elle.
Des mesures élargies à l’échelle internationale
La Maison-Blanche envisage selon ce que rapporte 20 Minutes d’activer un levier rarement utilisé dans le cadre du conflit : des sanctions à portée extraterritoriale. Ces mesures viseraient les États ou entreprises étrangères qui continuent de commercer avec la Russie, en particulier dans le secteur stratégique de l’énergie. Ce durcissement potentiel reflète une volonté de restreindre les sources de revenus de Moscou tout en accentuant l’isolement diplomatique du régime.
Cette approche, encore au stade de la préparation, signale un tournant dans la stratégie américaine, qui jusqu’à présent s’était concentrée sur des sanctions directes ou ciblées.
Une offensive militaire jugée « insupportable »
Les déclarations de Donald Trump interviennent dans un moment marqué par de nouvelles frappes meurtrières en Ukraine, notamment à Kiev, où les derniers bombardements ont causé la mort d’au moins 16 civils. Le président américain a vivement réagi à cette attaque, dénonçant ce qu’il a qualifié de scène « insupportable » en évoquant la brutalité des images venues de la capitale ukrainienne.
Ce durcissement rhétorique reflète une ligne de fermeté que Washington cherche désormais à étendre au plan multilatéral, en espérant entraîner d’autres puissances dans une logique de pression accrue.
Une mission de contact en préparation
Dans un geste inattendu, Donald Trump a également annoncé qu’un représentant spécial, Steve Witkoff, serait dépêché à Moscou dans les jours à venir. Cette initiative vise à établir un canal de discussion direct avec les autorités russes, notamment avec Vladimir Poutine, sans remettre en cause la fermeté affichée. Il s’agirait de sonder les possibilités de désescalade tout en maintenant une posture de rapport de force.
Cette démarche montre la complexité de la position américaine, entre volonté de contenir militairement la Russie et recherche de solutions politiques viables.
Un équilibre fragile entre sanction et diplomatie
La perspective de sanctions secondaires soulève déjà des interrogations dans plusieurs capitales. Les pays qui entretiennent des liens commerciaux avec Moscou, notamment dans le domaine énergétique, pourraient être contraints de choisir entre leurs intérêts économiques et la pression occidentale. Une telle dynamique risquerait de reconfigurer certaines alliances, au moment où les tensions sont déjà fortes au sein de blocs comme les BRICS ou dans les rapports Nord-Sud.
Ce nouveau chapitre de la politique étrangère américaine intervient alors que le conflit en Ukraine entre dans une phase critique. La semaine à venir pourrait marquer un moment de bascule, entre confrontation ouverte et recherche d’un fragile équilibre diplomatique.




Tiger paper King!
Roi tigre en papier Trump est comme un chien qui aboie , mais ne mord pas.
Putin ne s’est même pas donné la peine de répondre à ce changement « d’ultimatum » ! Ca rend l’autre enragé !
Parmi ses nombreuse tares, Trump aime menacer. C’est le mâle alpha dans sa version la plus primitive. Les menaces fonctionnent avec les caniches européens mais pas avec les Russes et les Chinois. Les Russes n’écoutent plus ce que dit Trump, sauf peut-être ses saillies les plus ridicules qui passent dans les émissions humoristiques.
Oh Trump! la vieille poupée qui fait pi pi et ca ca dans son froc.
On s’en fout de ses menaces verbales.