Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a déclaré le 29 août 2025 que la Russie avait massé jusqu’à 100 000 soldats près de Pokrovsk, dans l’est du pays. Cette annonce survient alors que les forces russes revendiquent des avancées sur plusieurs secteurs du front. Elle relance les interrogations sur la capacité des pourparlers diplomatiques, notamment menés par Washington, à produire des résultats tangibles. L’évolution autour de Pokrovsk pourrait peser sur les chances d’un cessez-le-feu.
Pokrovsk sous pression militaire
Selon Volodymyr Zelensky, les troupes russes se trouvent désormais à moins de cinq kilomètres de Pokrovsk, une ville considérée comme un nœud logistique vital. L’Ukraine estime que la perte de ce carrefour compliquerait l’approvisionnement de ses forces dans l’est. Le chef de l’État a évoqué la présence de jusqu’à 100 000 militaires russes dans le secteur, laissant craindre une offensive de grande ampleur.
Pokrovsk occupe une place stratégique dans la région du Donbass. Si elle tombait, elle renforcerait la capacité de Moscou à consolider ses lignes. Les autorités ukrainiennes affirment résister, mais reconnaissent que le soutien en matériel occidental reste indispensable pour contenir la pression. Moscou, de son côté, n’a pas confirmé ces chiffres, mais revendique des gains territoriaux progressifs, ce qui montre que la guerre demeure évolutive.
Des négociations fragilisées
Sur le plan diplomatique, le président américain Donald Trump a multiplié les contacts avec Moscou et Kiev depuis le début de 2025 afin de favoriser un cessez-le-feu. Washington cherche à établir un cadre garantissant la sécurité de l’Ukraine tout en permettant un retrait partiel des forces russes. Mais les divergences persistent : Kiev refuse toute concession territoriale, tandis que Moscou exclut un retrait de ses troupes des zones occupées.
Le rappel historique éclaire ce blocage. Dès 2022, plusieurs médiations, notamment turques et onusiennes, avaient échoué à instaurer une paix durable. La reprise des discussions sous l’impulsion de Trump n’a pas inversé la tendance, les récentes frappes sur Kiev ayant encore affaibli la confiance entre les parties. La concentration de troupes près de Pokrovsk apparaît ainsi comme un moyen pour Moscou de peser davantage dans les pourparlers.
L’évolution militaire et diplomatique autour de Pokrovsk illustre la complexité d’une guerre où progression des forces et négociations internationales s’entrecroisent, sans perspective immédiate de règlement durable.




« Zelensky évoque …. »
Il est arrivé au bout du chemin … le bouffon. Ce sera l’exil ou la caisse en sapin. A mon avis, il aura de très belles funérailles … en mondiovision. J’en connais qui vont même pleurer.
« Zelensky évoque la présence de 100 000 soldats russes près de Pokrovsk »
Y a pas un péquenot sur L.C.I. qui disait que l’armée russe manquait de soldats … tous morts, qu’ils disait, ce charlot. Un ukro tire une balle, 3 morts russes, dont deux par cirrhose du foie.
Bande de bouffons
Zugzwang signifie ne plus avoir de bons coups. Mettre son adversaire en zugzwang, c’est donc l’obliger à jouer un mauvais coup à son prochain coup. Tous les coups de la position vont la dégrader et mener à la défaite.
C’est la situation de l’Ukraine … les Russes ont mis l’Ukraine en zugzwang.
D’ici à ce que les européens le comprennent, l’admettent et en tirent les conclusions qui s’imposent, il y aura encore 500.000 morts !
« Dès 2022, plusieurs médiations, notamment turques et onusiennes, avaient échoué à instaurer une paix durable »
Oula … on en parle maintenant ?
Faudrait rajouter que ces Bojo qui les a fait capoter. NON ?
« Des négociations fragilisées »
IL N’Y AURA PAS DE NEGOS. L’Ukraine va capituler, c’est ce que veut Zobenski et c’est ce qui se passera
« Selon Volodymyr Zelensky, les troupes russes se trouvent désormais à moins de cinq kilomètres de Pokrovsk, »
Erreur, ils ont déjà dedans
« Elle relance les interrogations sur la capacité des pourparlers à produire des résultats tangibles. »
Il a rien compris … tout ce qui est pris n’est plus à négocier … « Ce qui est à nous est à nous, ce qui reste au nain sera à négocier … »