Le Maghreb se distingue par une activité commerciale soutenue, où certains pays parviennent à diversifier leurs échanges tandis que d’autres restent fortement centrés sur quelques secteurs clés. Tandis que le Maroc développe un portefeuille d’exportations mêlant agriculture, phosphates et industrie manufacturière, offrant une meilleure résistance aux fluctuations du marché, l’Algérie reste presque entièrement tributaire des revenus pétroliers et gaziers. Cette différence met en lumière les enjeux spécifiques auxquels l’Algérie doit faire face pour stabiliser et diversifier ses exportations.
Les biens non énergétiques en crise
Selon les chiffres des comptes économiques 2021-2024 publiés par l’Office national des statistiques (ONS), les ventes algériennes de produits autres que les hydrocarbures ont été fortement réduites : elles sont passées de 998,8 milliards de dinars en 2023 à 489,6 milliards de dinars en 2024, soit une baisse d’environ 50 %. Cette chute dramatique reflète les difficultés rencontrées par les entreprises locales pour maintenir leur compétitivité à l’étranger.
À l’inverse, le secteur des services a atteint 566,1 milliards de dinars en 2024 (environ 4,3 milliards d’euros), dépassant pour la première fois les exportations de biens hors hydrocarbures. Bien que leur valeur reste modeste face aux revenus pétroliers, ces services représentent un potentiel pour diversifier l’économie et réduire sa dépendance.
Les hydrocarbures : un socle fragile
Toujours selon l’ONS, les hydrocarbures continuent de générer l’essentiel des recettes extérieures de l’Algérie, avec 47,1 milliards d’euros en 2024. Toutefois, cette concentration expose le pays à des risques élevés : une baisse des prix ou une instabilité géopolitique pourrait rapidement mettre à mal ses finances. L’économie algérienne se trouve donc dans une situation délicate, où sa prospérité repose sur un seul pilier tandis que d’autres secteurs peinent à prendre de l’ampleur.
Les chiffres révèlent ainsi plusieurs dangers pour l’économie algérienne : la forte dépendance aux hydrocarbures rend le pays vulnérable aux variations des prix de l’énergie, la chute des exportations de biens non énergétiques fragilise les entreprises locales et limite les revenus alternatifs, et le manque de diversification économique réduit les marges de manœuvre face aux crises, ce qui peut freiner la croissance et la création d’emplois si aucune stratégie d’élargissement du secteur industriel et des services n’est mise en place.




soeur jumelle de JEUNE AFRIQUE
soeur jumelle de JEUNE AFRIQUE.
L’Algérie exporte hors hydrocarbures bcp de bonnes choses fruits de son seul effort.Les entreprises étrangéres (Françaises,Espanoles, Emiratis et autres) installées au Maroc exportent leurs produits ,et le petit trou d' »empire » du cannabis s’attribut le mérite. L’Algérie est à l’heure 3éme économie Africaine, et elle sera la 1ére d’ici 2030.Continuer a propagé vos mensonges en faisant d’un âne (Maroc)un cheval de course. Pendant que votre petit trou de Maroc se prépare a organisé conjointement avec le Portugal et l’Espagne la CM30, l’Algérie se prépare a passé de 3éme à la1ére économie Africaine en 2030. Au regard des tensions sociales qui secouent fortement le chimérique royaume du mensonge en ce moment,je ne suis pas certain que la secte alaouite tiendra le coup jusqu’en 2030. Les signes d’une faillite imminente du Makhzen sont visibles à des milliers de Kms, ils échappent seulement aux non voyants qui souhaitent que le roi vive et eux meurent.L’Algérie a pris son envol , pas la peine de vous fatiguer en lui cherchant des poux sur sa tête chauve. L’Algérie qui hante vos nuits vous donne RDV pour 2030.Soyez présent à l’arrivée pour constater au moins que tout votre flot de blablabla sur l’Algérie ne vous aura servi à rien.
vous n’êtes que des menteurs concernant les exportstions algérienne