Depuis plusieurs années, de nombreux pays d’Afrique, d’Asie et d’Amérique latine dénoncent ce qu’ils perçoivent comme une approche sélective des puissances occidentales face aux crises internationales. Ils reprochent aux capitales européennes et américaines d’accorder une solidarité sans faille à l’Ukraine face à l’offensive russe, tout en restant bien plus mesurées lorsqu’il s’agit du conflit israélo-palestinien. Cette perception d’inégal traitement a alimenté un discours récurrent sur la scène diplomatique : l’idée que le droit international serait appliqué à géométrie variable, selon les intérêts stratégiques des uns et des autres.
L’argument de l’uniformité des principes
Lors de son passage à la tribune de l’ONU, Emmanuel Macron a voulu répondre à ces critiques en affirmant que la France refuse ce qu’il a appelé le « double standard » en matière de paix. En évoquant à la fois la guerre en Ukraine et la guerre à Gaza, le président a voulu souligner que les mêmes règles doivent prévaloir, qu’il s’agisse du respect des frontières, de la protection des civils ou de la recherche d’un règlement politique. En rapprochant les deux conflits, il a voulu illustrer que la cohérence des positions est essentielle pour préserver la crédibilité des Nations unies et éviter que la diplomatie internationale ne soit perçue comme guidée par des calculs d’intérêt.
Cette mise en parallèle n’est pas anodine : elle revient à rappeler que, pour Paris, soutenir Kiev ne doit pas empêcher de plaider en faveur d’une paix durable au Proche-Orient. L’image est celle d’une balance de justice : si l’un des plateaux penche trop, c’est la légitimité de tout l’édifice qui vacille.
Un message aux sceptiques du Sud global
En tenant ce discours, Macron adresse aussi un signal aux pays qui critiquent l’attitude de l’Occident. Son intervention cherche à dire que la France entend appliquer les mêmes principes aux deux guerres, quelles que soient les sensibilités géopolitiques ou les alliances régionales. L’enjeu dépasse le seul cadre diplomatique : il s’agit aussi de préserver des canaux de dialogue avec les États qui doutent de l’équité des positions occidentales. Mais cette posture va-t-elle redorer l’image de la France ? Rien n’est sûr.
Cette posture pourrait avoir des répercussions concrètes. En refusant de hiérarchiser les conflits, la France tente d’éviter une fracture durable avec des partenaires du Sud global dont le soutien reste crucial dans les instances multilatérales. Mais cette ambition de cohérence se heurtera inévitablement aux réalités politiques : là où la défense de l’Ukraine repose sur une solidarité militaire et financière tangible, la recherche d’une solution à Gaza demeure tributaire de négociations bloquées depuis des années.



Commentaires débiles des anti-France, des frustrés, des métèques de toute sorte, issus des pays fascistes, des gnankoués de toutes les catégories.
Le roi du « en même temps » qui dit tout et son contraire commence à s’emmêler les crayons dans ses propres contradictions …
TESTicules atrophiés.
Et ce matin ça va bien chez toi
Macron fustige le « double standard »
Ce bouffon ne sait pourtant rien faire d’autre
Les troubles dissociatifs sont généralement déclenchés par un stress ou un traumatisme intense. La personne peut, par exemple, avoir été victime d’abus ou de maltraitance durant son enfance
Macron n’a pas une personnalité trouble et complexe … il en a plusieurs qui ne se rencontrent que rarement. Aller à l’ONU pour critiquer quelqu’un qui n’est autre que lui-même, c’est pas ce qui va redorer le blason de la Fronce
Après l’autocritique, Macron invente la critique dissociative ! Deux personnalités dans un même corps qui critiquent chacune ce que l’autre a fait !
Il est trop fort … c’est pour cela que les Français l’ont élu comme chef suprême.