Le débat sur l’application des normes sociétales au sein des forces armées françaises a pris une tournure inattendue après les propos du général Fabien Mandon, chef d’état-major des Armées. Devant la commission de la défense de l’Assemblée nationale, le 22 octobre, il a exprimé son irritation face à certaines obligations jugées inadaptées à la réalité opérationnelle des unités militaires, rapporte Le Point.
Une critique sur l’uniformité des règles
Au cœur de la polémique, la question de la construction de chambres adaptées aux personnes handicapées dans des régiments dits d’élite. Le général Mandon aurait estimé que la mise en œuvre automatique de ces aménagements relevait d’un excès de zèle administratif. Il a regretté que des fonds soient consacrés à ces travaux pendant que d’autres casernes, en mauvais état, attendent toujours des rénovations. Selon lui, la transposition mécanique des normes civiles au domaine militaire conduit parfois à des dépenses inefficaces et à une gestion budgétaire discutable, comme l’a précisé Le Point.
Le haut gradé a rappelé que ces règles avaient leur utilité dans la société, mais que leur application uniforme pouvait, dans certaines situations, freiner la mission de défense ou détourner les moyens financiers de priorités plus urgentes. Ses remarques traduisent un malaise perceptible au sein de l’armée, confrontée à la fois à des impératifs de modernisation et à des contraintes réglementaires de plus en plus strictes.
Un militaire au parcours affirmé
Âgé d’une soixantaine d’années, Fabien Mandon dirige l’état-major des Armées depuis 2023. Ancien officier de l’armée de l’air, il a bâti sa carrière sur la planification stratégique et la gestion opérationnelle. Avant d’occuper son poste actuel, il a exercé plusieurs responsabilités au sein du ministère des Armées, notamment dans la coordination interarmées et la réforme des structures militaires. Sa réputation de rigueur et de franchise explique en partie le ton direct de ses interventions publiques.




Le nouveau big boss de l’armée française était colonel à l’arrivée de Micron à l’Elysée ! 25 ans de lieutenant à colonel et 7 ans de colonel à Chef d’Etat-Major.
Chapeau, l’artiste.
Ca fait penser à ces républiques bananières où on passe de caporal à général en deux coups les gros si on est copain du nouveau président !
Il a pas tort, qu’est-ce que des handicapés physiques foutent dans l’armée ! Pourquoi pas des rampes pour que les fauteuils roulants puissent accéder dans les tranchées pendant qu’on y est ?
Handicapé mental, par contre, c’est un avantage !
Je sais pas, peut-être qu’on parle d’unités non combattantes, des administratifs, tout ça … mais c’est vrai que normalement, il y a un examens d’aptitude physique ! Avec des critère « stricts », comme peser moins de 150 kg 😉
Une carrure de moustique, l’oeil atone, le teint jaune, le verbe chancelant, la pensée confuse, le baratin baroque … un vrai chef militaire que le mon dentier nous envie.
On est entre de bonnes mains
Tu crois pas si bien dire … sa première prise de parole : « La première consigne que j’ai donné à mes hommes, c’est de se tenir prêts ! »
Une armée, c’est comme les pompiers ! Je ne savais même pas qu’elle pouvait ne pas se tenir prête ! Ca donne une idée du niveau de préparation …
Le précédent CEMA a dit qu’il « falllait » songer à inclure les drones dans la stratégie militaire fronçaise ! Ca fait 3 ans que les Russes et les Ukros n’utilisent que ça et le gugusse vient de comprendre qu’il faudrait peut-être s’y mettre.
Il a ensuite été terrassé par l’effort cérébral ! Il a fallu le remplacer par le scout « toujours prêt »
Hé ouais, la 7ème compagnie, c’était une unité d’élite à côté