Accusé dans l’affaire du double meurtre sur une ferme porcine du Limpopo, Adrian Rudolph De Wet affirme vivre un véritable cauchemar derrière les barreaux. Dans plusieurs lettres adressées à sa famille et à ses amis, cet homme arrêté aux côtés de son employeur, Zacharia Olivier, et d’un autre ouvrier, William Musora, décrit une vie en prison marquée par la peur et l’isolement. Il écrit qu’il est « presque le seul Blanc » dans un établissement comptant « des milliers de détenus noirs ». Selon ses mots, il serait la cible de menaces de viol et de mort, au point de confier qu’un autre détenu le protège « des agressions potentielles ».
Ces correspondances, rendues publiques devant la Haute Cour de Polokwane, ont suscité la surprise lors du procès. L’avocat de Zacharia Olivier, maître Jacobus Venter, s’en est servi pour mettre en doute la crédibilité du témoin, désormais passé du banc des accusés à celui de l’accusation. Le juge a exigé que l’intégralité des lettres soit lue afin d’en saisir la portée réelle, au-delà des extraits cités à des fins stratégiques.
Une affaire qui choque par sa violence
Les faits à l’origine de cette affaire remontent à août 2024, lorsque deux femmes, Maria Makgato et Lucadia Ndlovu, ont été abattues sur la ferme de Zacharia Olivier alors qu’elles tentaient, selon l’enquête, de récupérer de la nourriture périmée destinée aux porcs. Leurs corps auraient ensuite été jetés dans une porcherie. Cette scène macabre a profondément marqué l’opinion publique sud-africaine, rappelant les tensions persistantes autour du monde agricole, souvent traversé par des rapports de force liés à la terre, à la pauvreté et aux inégalités raciales.
Lors de l’audience, De Wet a exprimé des regrets dans un passage de ses lettres où il évoque les avertissements ignorés avant le drame : il reconnaît qu’on lui avait conseillé d’arrêter de « tirer sur les voleurs à la ferme ». Ses mots traduisent un mélange de remords et de peur : celle d’un homme enfermé, conscient de la gravité de ses actes et de la méfiance que son propre témoignage suscite désormais.

Pour faire court , qu’on le dépèce et jète son corps à ses porcs ; ces derniers vont tres apprécier ces viscères 😡😡
Lire…. Master
Quelles seront ses idées s’il découvre un jour qu’il y a des noirs au Paradis?
Il est blanc aujourd’hui et demain il sera un homme noir.
T’as pas lu la bible, toi ! A part Nicodème, pas de noir au paradis. Leur couleur de peau est le reflet de leur âme.
C’est du moins ce qu’on disait au 19ème siècle.
Ai pas fait les MAJ
Connais-tu le nombre de livres qui composent l’ensemble de « La Bible »?
Sais-tu pourquoi ces originaux livres ont disparu de la circulation?
Je n’irai pas condamner ta croyance, le moins que je puisse dire.
Savais-tu le nom du légendaire Égyptien à la tete d’Ibis?
Dieu a conversé avec lui face-à-face, je te conseillerais d’aller lire et saisir « The Emerald Tablets ».
As-tu entendu parler de « Master Afra » un « Ascended Mater » d’origine Ghanéenne?