Depuis des mois, les capitales occidentales repoussent sans cesse leurs propres limites. Après les Storm Shadow britanniques, les SCALP-EG français et les ATACMS américains, l’Ukraine dispose déjà de missiles capables de frapper loin derrière les lignes russes. À chaque livraison, le Kremlin a menacé de représailles, dénonçant une “ligne rouge” franchie. Pourtant, la guerre continue, chaque innovation armée appelant la suivante. C’est dans cette spirale que Donald Trump place désormais un pion inattendu : les Tomahawk, symbole de la puissance de frappe américaine.
Une menace en guise de stratégie
Au retour d’un déplacement diplomatique, le président américain a déclaré à des journalistes qu’il pourrait menacer Vladimir Poutine en proposant d’envoyer des missiles Tomahawk à l’Ukraine si Moscou ne mettait pas fin à son offensive rapporte AP News. Plus qu’une promesse, cette déclaration ressemble à une carte psychologique jouée sur le terrain de la dissuasion. Trump, fidèle à son style de négociateur, brandit l’arme avant même de la dégainer. Son raisonnement tient en une logique simple : contraindre par la peur, faire plier par la perspective du pire.
Il a laissé entendre qu’il avait évoqué la question directement avec Volodymyr Zelensky, qui aurait demandé ces missiles lors d’une récente conversation téléphonique. En présentant les Tomahawk comme un outil capable de faire réfléchir le Kremlin, Donald Trump cherche à transformer la peur de l’escalade en instrument de persuasion. Le président américain a laissé entendre que la Russie devait comprendre son sérieux, ajoutant que ceux qui provoquent risquent de voir “des Tomahawks lancés dans leur direction”. Par ce mélange de fermeté et de provocation, il illustre sa méthode : user de la tension comme d’un levier diplomatique.
Entre gestuelle politique et véritable avertissement
Vladimir Poutine avait déjà prévenu que toute livraison de Tomahawks à Kyïv serait interprétée comme une escalade directe entre les États-Unis et la Russie. La dernière rencontre entre les deux dirigeants, en Alaska, n’avait abouti à aucun progrès sur un cessez-le-feu. Donald Trump, frustré de cette impasse, semble désormais vouloir déplacer le centre de gravité du dialogue : non plus la recherche d’un accord, mais la mise sous pression.
La manœuvre a aussi une portée intérieure. Alors qu’il entame une tournée au Moyen-Orient pour promouvoir un plan de paix à Gaza, Trump cherche à incarner un président capable d’intimider ses adversaires et de réaffirmer la suprématie américaine. Une façon de rappeler que, même à distance, Washington peut encore peser sur le conflit ukrainien — ou du moins donner cette impression.
Une guerre de nerfs
Derrière l’éclat des déclarations, la réalité reste celle d’un équilibre fragile : aucune décision officielle n’a été prise, et la fourniture des Tomahawks reste hypothétique. Mais en brandissant publiquement cette menace, Trump introduit un élément nouveau dans la partie : la diplomatie par l’intimidation.
Face à un Poutine qui mise sur la lassitude occidentale, l’Américain parie sur l’effet de choc. Le duel se joue désormais moins sur les champs de bataille que dans la perception du risque. Et dans cette guerre de nerfs, un mot, une phrase ou un missile peuvent parfois peser autant qu’une victoire militaire.




Ce gros lard a la cervelle aussi épaisse que sa bedaine. Trump joue au poker menteur avec un gars qui joue 15 parties d’échecs en même temps
Ces tomahawks sont des missiles ringards.
Les Russes finalisent leur petit dernier : le missile Burevestnik ! Avec un peu de chance on va assister à un test grandeur nature, tout comme avec le missile Orechnik qui est depuis passé en production à l’échelle industrielle !
Tout ça, c’est du SHOW. Trump amuse la gallerie en menaçant Poutine alors qu’il n’enverra JAMAIS de missiles à potentiel nucléaire en Ukraine.
Du bluff de joueur de poker DOUBLE d’un cirque pour faire croire au nain vert qu’il ne l’a pas lâché.
Trump espère que les Russes vont ENFIN passer en seconde et obliger le nain de Kiev à capituler. Il pourra ensuite faire du business avec les Russes.
La guerre en Ukraine est pliée, seul le nombre de morts ukros reste à déterminer.
Ce qui est plus ennuyeux, c’est que Trump veut les puits de pétrole du Venezuela. Un conflit RUS-USA pourrait déclencher là-bas
« Trump, fidèle à son style de négociateur »
COMPRENDRE : le style mafieux
« cette déclaration ressemble à une carte psychologique »
Exactement, la carte psychologique d’un type qui souffre de déficiences cognitives aggravées
« … en proposant d’envoyer des missiles Tomahawk à l’Ukraine si Moscou blablabla »
Les Russes préparent déjà les représailles en envoyant des missiles balistiques Orechnik au Venezuela et à Cuba (ceci n’est pas une blague)
« Une menace en guise de stratégie »
Mauvaise stratégie, ça fait 25 ans qu’on sait que Poutine est imperméable aux menaces
« les Tomahawk, symbole de la puissance de frappe américaine. »
Un blague ? Missile subsonique conçu dans les années 1970.
Les Russes les attrapent au filet à papillons
« Depuis des mois, les capitales occidentales repoussent sans cesse leurs propres limites. «
LIRE
« Depuis des mois, les capitales occidentales ont atteint leurs propres limites. «
Les stock sont vides. Ils n’ont plus rien à donner ! A part du nucléaire
« Trump dégaine la menace Tomahawk »
Trump ne comprend rien à tout ce qui n’est pas fait en béton.
Il est ridicule. Les ukros n’ont pas de lanceurs pour ces missiles. Il faudrait des soldats US pour les lancer
Tomahawk = 3ème guerre mondiale assurée