La remise par les États-Unis à l’Ukraine d’un projet de plan en 28 points a relancé les discussions autour d’une possible issue à la guerre. Le document, transmis au président Volodymyr Zelensky, doit faire l’objet d’échanges annoncés avec Donald Trump selon les informations de Reuters. L’attention se porte sur une disposition particulière, intégrée dans la seconde moitié du texte, et dont les effets pourraient toucher indirectement Vladimir Poutine.
Une clause juridique aux implications notables
Parmi les éléments du projet, une mesure se distingue : une amnistie totale pour toutes les parties impliquées dans le conflit. Le texte prévoit qu’aucune revendication ni action judiciaire future ne pourra être engagée pour des faits liés à la guerre. Cette disposition ne cite pas Poutine, mais son application générale couvre également les autorités russes, ce qui lui confère un effet protecteur indirect.
D’autres volets du plan concernent la sécurité régionale. Kyiv obtiendrait des garanties renforcées, tandis que l’armée ukrainienne serait limitée à 600 000 militaires. La non-adhésion de l’Ukraine à l’OTAN serait inscrite dans la Constitution et l’alliance atlantique renoncerait à tout déploiement en territoire ukrainien.
Pour rappel, plusieurs personnalités ont, au fil des années, cherché à rapprocher les positions de l’Ukraine et de la Russie à travers des initiatives diplomatiques variées. Ces démarches n’ont pas abouti à un compromis durable, mais elles ont multiplié les propositions d’intermédiation. Le plan transmis par Washington intervient après ces tentatives successives et introduit une nouvelle architecture de négociation, au sein de laquelle se trouve la clause d’amnistie qui retient aujourd’hui l’attention.
Territoires, économie et mécanismes de supervision
Le projet aborde également la question des territoires. Les régions de Crimée, Lougansk et Donetsk seraient reconnues de facto comme russes, tandis que Kherson et Zaporijjia resteraient figées sur la ligne actuelle de contact. En parallèle, un retour progressif de la Russie dans les circuits économiques mondiaux serait étudié, avec un volet consacré à la levée des sanctions et à une coopération économique de long terme.
Le texte prévoit aussi l’utilisation d’actifs russes gelés pour financer la reconstruction de l’Ukraine, dans un dispositif conjoint associant notamment la Banque mondiale. Enfin, un Conseil de paix, présidé par Donald Trump, serait chargé de superviser l’application de l’accord, qui deviendrait juridiquement contraignant une fois adopté.




INFO de la N+T TOTALEMENT FAUSSE.
Le Wall Street Journal affirme que dans la version du plan de paix américain publiée par un député ukrainien, l’un des points exigeant initialement un audit de l’aide internationale aurait été transformé par Kiev en une proposition d’ «amnistie totale».
« Poutine protégé »
Désolé les comiques mais Putin n’a pas besoin des plans débiles de ce guignol de Trump pour être « protégé »
@BLOB
Ce n’est pas confirmé mais Umerov serait actuellement aux USA où il aurait demandé le statut de réfugié politique.
De toute façon, ce sont les Ukrainiens qui auront la peau du nain barbu et de sa bande de gangsters.
Et Trump ne pourra rien y faire !
« une amnistie totale pour toutes les parties impliquées dans le conflit. Le texte prévoit qu’aucune revendication ni action judiciaire future ne pourra être engagée pour des faits liés à la guerre »
C’EST UNE BLAGUE ? Cette clause couvre la bande du nain de KIEV.
Poutine a dit que tous les crimes de guerre seront punis. Ce qui signifie que la JUNTE DE KIEV DANS SON ENTIERETE sera PUNIE. Comme BANDERA, leur héros en 1959