Aucune rencontre entre les présidents russe et américain n’est prévue avant le Nouvel An. Dmitri Peskov, porte-parole du Kremlin, a précisé ce lundi sur la chaîne russe Channel que les préparatifs nécessaires à un sommet ne sont pas encore achevés et que des travaux approfondis au niveau des experts sont indispensables avant d’envisager un tel rendez-vous.
États-Unis – Russie et diplomatie autour de l’Ukraine
Selon Peskov, Moscou n’a pour l’instant aucune information sur les résultats des récents pourparlers entre Washington et Kiev en Floride. Ces discussions, centrées sur la situation en Ukraine, ont été suivies de près par les observateurs internationaux, qui espéraient qu’elles pourraient ouvrir la voie à un dialogue direct entre Trump et Poutine. Pour que cela se concrétise, il estime qu’il est nécessaire que les experts des deux pays finalisent d’abord les aspects techniques et sécuritaires d’une telle rencontre.
En août 2025, Donald Trump et Vladimir Poutine se sont rencontrés à Anchorage, en Alaska, pour discuter de la guerre en Ukraine, mais cette rencontre n’a abouti à aucun accord concret. Quelques semaines plus tard, un sommet prévu à Budapest a été annulé, Washington estimant que les conditions n’étaient pas réunies pour un dialogue efficace. Depuis, les négociations entre Washington et Kyiv autour du plan de paix proposé par les États-Unis se poursuivent, mais aucun compromis sur les questions clés, notamment territoriales, n’a été trouvé, laissant la situation ukrainienne toujours instable.
Moscou privilégie la préparation avant tout
Le Kremlin insiste sur le fait qu’une réunion présidentielle ne doit pas être organisée de manière précipitée. Peskov a souligné que seule une préparation sérieuse au niveau des experts permettrait de garantir que le sommet produise des résultats concrets et ne reste pas symbolique.
Toute rencontre entre Poutine et Trump avant 2026 semble donc improbable. Il a affirmé que la Russie souhaite évaluer pleinement les conséquences des discussions en cours et s’assurer que le dialogue futur se fasse sur des bases solides, évitant ainsi toute décision prématurée qui pourrait nuire aux négociations sur la crise ukrainienne.




Zélésky était à Londre ce jour. Il bloque tout jusqu’à ce qu’il sache s’il touche les 200 milliards promis par Ursula la Hyène.
Putin a le temps. C’est encore à confirmer mais il semblerait qu’il vient de revoir ses exigences à la hausse en mettant la Novorussia (Nouvelle-Russie) dans le package, ce qui permettrait de sécuriser Odessa et la Transnistrie. Cela bloquerait aussi l’accès à la mer et l’Ukraine deviendrait dès lors nettement moins intéresssante aux yeux des occidentaux, notamment les Anglais
En attendant les ukros jettent leurs dernières forces dans la bataille. Peut-être leur chant du cygne. C’est chaud. Les Russes balancent des bombes planantes de 5 tonnes. Ca aplatit un pâté de maison comme un chateau de cartes. Ceux qui sont à plus de 500 mètres ont une chance de survivre mais ils resteront méchamment secoués.
Pendant ce temps, Micron et Zelya font les kékés à Londres !