Congrès constitutif du parti Nep Mixalodo

Le présidium du congrès constitutif
Installation d’une machine politique à Agbangnizoun (le retour de Séraphin Agbangbata)
Porté samedi dernier sur les fonts baptismaux à Agbangnizoun dans le département du Zou, le parti Nouvel élan pour la patrie (Nep-Mixalodo) est constitué à 80% de jeunes.

La naissance samedi dernier au Collège d’enseignement général (Ceg)  D’Agbangnizoun est apparue comme la solution au cri de détresse des populations du Bénin en général et de celles de cette commune du département du zou. Assistant selon à les en croire à un événement inédit, des jeunes de la commune laissaient facilement savoir leur joie. En témoignent certains témoignages tels que « Agbangnizoun a aujourd’hui un leader capable de nous mener à bon port». Il s’agit de Paul Gnimagnon, président du parti naissant, Nouvel Elan pour la Patrie (Nep Mixalodo) dont la naissance officielle a eu lieu samedi 20 décembre 2008 au collège d’enseignement générale d’Agbangnizoun devant au moins trois mille (3000) militants, selon la liste de présence tenue par le secrétariat du congrès. Pour rassurer du Nep Mixalodo et les invités qui ont honoré leur congrès constitutif, le président souligne que, « en optant pour le combat  politique, nous n’avons été entraînés par aucune sollicitation inconvenante ni influés par aucun motif indigne ou sentiment vénal. Nous ne sommes mus que par la volonté sincère de nous rendre utiles à nos semblables, à l’humanité, à la patrie où nous avons reçu le jour et qui a nourri notre enfance ».

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Séraphin Agbangbata, le retour du combattant
 Séraphin Agbangbata, la quarantaine environ, ancien leader incontesté des étudiants, ancien membre influant du parti communiste du Bénin et du parti communiste marxiste léniniste du Bénin (Pcmlb), est l’un des initiateurs du parti Nep-Mixalodo.  Comme le retour d’un combattant, M. Agbangbata a donc initié ce parti qui consacre son retour sur scène  ensemble avec des camarades qui ont connu les mêmes misères que lui sur les chemin du petit palais, de la célèbre prison de Ségbana et d’autres lieux de détention et de correction pendant la période révolutionnaire.Ludovic D. Guédénon

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