RD Congo : attaque immonde dans l’est du pays

Les 13 et 14 décembre des attaques inqualifiables ont été perpétrées encore une fois dans l’est de la république démocratique du Congo. Des rebelles ougandais sont les principaux accusés de cette barbarie. En effet, des femmes, des enfants et certaines fois des bébés ont été tués par ces rebelles que combat le pouvoir angolais en place.

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Après la reddition des rebelles du M23, on croyait la république démocratique du Congo apaisée, tout au moins pour une période plus longue. Mais c’était sans prendre en compte les autres groupes armés qui sévissent un peu partout dans les zones reculées de ce grand état d’Afrique centrale. Victime de ses richesses naturelles, le Congo est la cible depuis la chute du régime de Mobutu de plusieurs groupes armés congolais d’une part mais également rwandais, ougandais et autres nationalités de la sous-région. La dernière attaque du week-end dernier a été particulièrement violente. En effet, des corps de jeunes filles violées puis décapitées, d’un enfant mutilé, démembré puis accroché à un arbre et d’autres atrocités du genre ont été constatées sur les lieux des massacres. 

Le groupe armé ADF-Nalu» (Forces alliées démocratiques-Armée nationale pour la libération de l’Ouganda) est le principal accusé. La société civile congolaise a dans la foulée demandé aux militaires congolais et aux forces armées de l’ONU (Monusco) de lancer une opération contre ces rebelles. Pour l’heure l’ONU a ouvert une enquête pour situer les responsabilités et renforcé ses patrouilles dans les zones de combat.

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