Alternance en 2016 : le Mouvement Alternative 16 d’Abomey-Calavi sollicite la candidature du Général Fernand Amoussou

Samedi dernier à Abomey-calavi, les jeunes de cette grande commune de l’Atlantique réunis dans le Mouvement Alternative 16, ont appelé le Général Fernand Amoussou à se présenter pour prendre  la tête du pays dès 2016 afin d’insuffler une dynamique de développement au Bénin.

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S’il y a un homme idéal pour succéder à Boni Yayi à la tête du Bénin en 2016, selon les jeunes membres du Mouvement Alternative 16 de la commune d’Abomey-Calavi, c’est bien le Général Fernand Amoussou. Animés par cette conviction, ils sont allés très nombreux, le samedi 30 août dernier à la rencontre de l’homme pour le convaincre à s’engager résolument dans la course à l’élection présidentielle de 2016. « Avec le Général Fernand Amoussou, construisons notre destin commun », tel est l’un des messages incitatifs  lisibles sur les banderoles qu’ils ont confectionnées pour recevoir l’homme qu’ils jugent capable  de prendre les destinées du Bénin à la fin du deuxième et dernier mandat constitutionnel de l’actuel locataire de la Marina.

Election présidentielle de 2016 : le Général Fernand Amoussou dans les starting blocks ? 

Entre autres éléments qui poussent à s’intéresser au Général, ont-ils expliqué,  sa carrière exemplaire, les témoignages élogieux de ses frères d’armes, ses preuves à garantir la sécurité des Béninois, son expérience internationale notamment sa contribution au retour de la paix et la sécurité en Côte d’Ivoire et son leadership tant à la tête de l’armée béninoise que de la force onusienne et sa statut d’homme d’Etat. Et pour convaincre leur homme providentiel, les jeunes du Mouvement Alternative 16 de la commune d’Abomey-Calavi lui ont égrené le chapelet des difficultés actuelles que connaît le pays au secours duquel il doit venir.

Homme d’action

 A son tour, le Général Fernand Amoussou  s’est dit prêt à servir  le Bénin et ses concitoyens au service desquels il a toujours été. «Ce sont les hommes qui ont créé la pauvreté et le chômage, et ce sont les hommes qui les vaincront. Il s’agit d’un acte de justice » a-t-il fait savoir demandant aux jeunes de garder l’espoir. A  cet effet, il a promis aux jeunes de s’engager pour leur ramener le sourire aux lèvres et sur  le visage de chaque Béninois. L’une des solutions qu’il préconise, c’est de faire de l’éducation, une priorité. En cela poursuit-il,  des réformes doivent être engagées pour tenir compte du marché de l’emploi et des perspectives de développement. « C’est par l’éducation, la bonne éducation que nous pouvons redonner espoir aux jeunes générations » ajoute le Général. De même que l’école, il soutient que l’apprentissage  doit être valorisé, organisé et ne doit plus être considéré comme une filière pour ceux qui n’ont pas réussi. Avec les jeunes, il a partagé sa conception de ce que doit être un chef. « Le chef doit s’appliquer ce qu’il exige des autres » a-t-il martelé à plusieurs reprises. A son entendement, les Béninois doivent éviter le piège de la division, en cultivant davantage la fraternité et le patriotisme. Pour lui, pas question de bafouer la constitution du Bénin. « Nous avons une Constitution. Elle doit être respectée. Point, point, point final. », a-t-il répondu aux jeunes  qui lui ont exprimé leurs inquiétudes sur la non tenue de l’élection présidentielle de 2016 ou du maintien au pouvoir de Boni Yayi après son dernier mandat qui prend fin le 06 avril 2016 à 00heure00mn.

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