Deux visions qui s’affrontent quant au conflit syrien : le camp Poutine qui estime que Bachar Al Assad doit être associé à la lutte contre l’Etat Islamique et le camp dit occidental mené par les USA qui estime que le président syrien doit être exclu. Le pays de Barack Obama va même plus loin en armant les rebelles qui luttent contre le pouvoir syrien, pour dit-il lutter contre l’Etat islamique.
Mais pour Vladimir Poutine cette solution est contreproductive. Mais depuis son intervention à l’ONU, le président russe semble séduire de plus en plus dans le camp américain. Il est évident qu’une bonne partie de l’opinion publique en Europe est plutôt favorable au président russe.
Jeudi 1er octobre, la chancelière allemande a rejoint officieusement le camp Poutine en affirmant tout de go, qu’une solution en Syrie n’était pas envisageable sans Vladimir Poutine. « Il ne sera pas possible de trouver une solution au conflit en Syrie sans l’aide de la Russie » a t-elle affirmé.
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Elle avait également déclaré qu’il fallait discuter avec le président Bachar Al Assad pour trouver une solution en Syrie. Rappelons qu’Angela Merkel avait été violemment critiquée pour sa gestion de la crise des migrants syriens.
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