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Webb Fontaine Group, associé de Bénin Control chassé de Centrafrique pour prélèvements illégaux

Par Franck Dossi
il y a 4 ans
(Tout le monde en parle)
5 Commentaires
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Retour sur le sous-traitant de Benin Control. Dans notre parution du lundi 31 juillet 2017, nous dénoncions les faramineuses sommes perçues par Webb Fontaine group dans le cadre du contrat Pvi. Mais il y a mieux. La société basée à Dubaï vient d’être chassée de Centrafrique pour avoir effectué des prélèvements illégaux.

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On ne peut longtemps se cacher derrière son petit doigt. Webb Fontaine Group FZ-LLC l’apprendra à ses dépends. L’associé de Bénin Control, sous-traitant dans le cadre de la mise en œuvre du PVI au Bénin, va payer cher ses pratiques frauduleuses en Centrafrique. Pour la petite histoire, Webb Fontaine Group FZ-LLC a signé le 2 février 2017 avec la Centrafique un contrat relatif à la mise en place d’un système dématérialisé des procédures douanières et d’un système de Guichet Unique de Commerce Extérieur.

Mais selon nos investigations, Webb Fontaine Group FZ-LLC a vu son contrat de concession “suspendu avec effets immédiats” avec la République centrafricaine. Cette décision a été prise par le gouvernement centrafricain en en mai 2017, soit 3 mois à peine après avoir signé.

Selon nos recoupements, la décision de ladite “suspension avec effets immédiats” a été prise par les autorités centrafricaines à la demande du Fonds Monétaire International (FMI). En effet, Webb Fontaine Group FZ-LLC et ses agents sont accusés en Centrafrique pour avoir « illégalement prélevé sur les opérateurs économiques des taxes, des frais de dossier et sommes d’argent en échange de leurs prestations, des prélèvements illégaux », car non prévus par le contrat liant Webb Fontaine Group FZ-LLC à la République centrafricaine. « Dans le cadre de sa mission, ni Webb Fontaine, ni ses agents ne devaient prélever auprès des opérateurs économiques ni taxes, ni frais de dossier, ou quelconque somme d’argent pour les prestations liées à cette convention », fait constater le Ministre centrafricain des finances et du budget, Henri Marie Dondra, dans sa correspondance annonçant la résiliation du contrat à Alioune Cissé, Directeur exécutif de Webb Fontaine Groupe FZ-LLC, le 02 mai 2017.

Si le FMI est allé jusqu’à exiger la résiliation pure et simple dudit contrat avec Webb Fontaine Group FZ-LLC, c’est qu’au delà de la raison officielle évoquée de « prélèvements illégaux de sommes d’argent sur les opérateurs économiques », le contrat dans son ensemble devait présenter un gros risque sur les finances publiques de la Centrafrique, après seulement à peine 3 mois d’exécution (février à mai 2017). Alors une question.

Quelle crédibilité accorder Webb Fontaine Group FZ-LLC à qui Benin Control d’Olivier Boko vient de dérouler le tapis rouge au Bénin en lui confiant, pour ses propres intérêts, la gestion de toutes les procédures qui touchent au commerce entre le Bénin et le reste du monde, et en l’exonérant de tout impôt et de toute taxe ? Le rôle du Président de la République n’est-il pas plutôt de protéger l’intérêt général, les intérêts du peuple ? Le Fmi qui joue un peu au censeur dans la gestion des finances publiques au Bénin aussi, n’a certainement pas encore vu le juteux contrat du Bénin entre Benin Control et lui. Sinon, il aurait rougi et arrêté la gabegie. Vivement donc le Fmi

Commentaires 5

  1. sonagnon dit :
    2 août 2017 à 14:36

    Me DJOGBENOU peut il nous expliquer par quelle acrobatie le conseil des ministres a procédé à l’adjudication du marché PVI au groupement SGS/BENIN CONTROL, et c’est Webb Fontaine Group FZ-LLC qui exécute le marché au nom de BENIN CONTROL???

    PIK est bien informé cette fois ci de tout ce qui se passe, et il est bien en place au gouvernement je crois????

    Il y aura un temps où chacun sera face à ses responsabilités.

    Répondre
  2. olyver dit :
    2 août 2017 à 12:16

    Web fontaine appartient à la belle fille de ouattara en cote d’ivoire tout est est géré à partir d’une plateforme logée en Argentine, elle ne devrait pas émergé au bénin hélas, c’est le prix a payé pour avoir élu un président nommé Talon……..c’est triste….

    ouattara sera un jour ou l’autre chassé du pour pouvoir en cote d’ivoire un nouveau président élu va de facto rectifier et choisir une autre entité,
    il faut savoir qu’avant c’est le cabinet Véritas qui se trouve à la Défense à paris qui avait la charge de cette mission ils ont été chassé du jour au lendemain par ouattara sans motif…………..

    Talon est actionnaire dans plusieurs usines agro-chimique en côte d’ivoire essentiellement de l’engrais…….il est donc plombé à être docile avec ouattara s’il veut conserver ces investissements…….

    voilà ou s’emmène lorsqu’on vote pour voter pauvre peuple béninois qui ignore tout et pense qu’il suffit de voter pour être un homme libre…

    Répondre
  3. FRANCK M MAKON dit :
    2 août 2017 à 11:05

    CE N’EST QUE LE DEBUT DE LA VENGEANCE DE DIEU CONTRE TALON .
    DE PARTOUT DANS LE MONDE , LES AVENTURES TALONNIERE SERONT CHASSE !

    Répondre
  4. Lavagnon dit :
    2 août 2017 à 08:50

    Je demande aux journalistes d’aller vraiment voir ceux qui se cachent derrière cette société soi-disante basée a Dubai. J’ose croire que les journalistes connaissent bien l’histoire des sociétés dites offshore basées dans les paradis fiscaux. C’est des sociétés écrans ou satellites dont les noms des fondateurs restent inaccessibles. Il y a de fortes chances que des acteurs de la rupture aient des actions dans cette société.

    Répondre
  5. OLLA OUMAR dit :
    2 août 2017 à 06:08

    Avec les ruptu.c.ons aux affaires , celà ne risque pas de se produire au benin , à mois que le FMI tape du poing sur la table et en face une condition pour accès au credit

    Répondre

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