Pour mieux comprendre les faits qui sont reprochés à Me Yves Edgar Monnou dans l’affaire qui l’oppose à ses coactionnaires de Bengaz, il convient de remonter ce dossier depuis la création de Bengaz en 2004, à travers la constitution de l’actionnariat, en passant par la fin de la construction du Gazoduc en 2011, jusqu’à la constatation des malversations financières qui a poussé ses coactionnaires à porter l’affaire devant la justice en 2016.
A la création de la société Bengaz Sa en 2004, spécialisée dans le transport sécurisé de gaz, il était question de réunir les 300 millions Fcfa pour la constitution du capital. Les promoteurs n’ayant pas réuni la totalité du capital, ils se serviront de la loi qui leur permettait de créer l’entreprise avec seulement le quart (¼) du capital. C’est ainsi que s’est constitué le premier groupe d’actionnaires, constitué de 4 structures. La Société civile immobilière (SCI), La Mouette 39 millions, la Communauté électrique du Bénin (CEB) 25 millions, karl Dork international 25 millions, et Corine et Yves investment (Coryve) de Me Yves Edgar Monnou 50 millions. La vente de ces différentes actions s’est faite sous la conduite du notaire instrumentaire, Me Massihou A. Bileoma, en 2004. Procuration a été faite à Me Yves Edgar Monnou, à l’époque le plus grand actionnaire non majoritaire, par le notaire Massihou A. Bileoma, de faire du portage. C’est-à-dire procéder à la vente des 161 parts d’actions restantes.
Le début des manigances
Ni le notaire instrumentaire ni les autres coactionnaires ne pouvaient imaginer que Me Monnou, recevant cette charge de faire du portage au nom de la société Bengaz, planifierait en silence de capitaliser cette fonction à son propre profit. Pour réaliser son dessein, il a d’abord entrepris de prendre attache avec un autre notaire qui lui a établi un document, qui faisait de lui l’actionnaire majoritaire. C’est avec ce statut fabriqué de toutes pièces, que Me Monnou s’impose auprès des autres actionnaires comme président du conseil d’administration de Bengaz, et désigne son secrétaire personnel, Léopold Patient Somissou, comme directeur général de la structure. C’est alors que les autres actionnaires constatent que Me Monnou déclarait n’avoir en fait pas été chargé du portage, mais que ces 161 parts lui appartiennent. Des déclarations qui contrastent avec la procuration de vente qu’il lui a été faite par le notaire instrumentaire, Me Bileoma, en date du 11 octobre 2004.
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The powers that be in the Republic of Bénin want to keep estranged Director of BENGAL Monsieur Mannou in power by any means necessary. According to leaked reports, the entire board of directors is now being forced into deal that will keep Mannou in power irrespective of his many offences
Et pourtant…je ne vois pas des nuages..menaçantes…à l’horizon..sur cotonou
Et pourtant..la foudre frappe tot ce matin…et ça fait des dégats…n’est ce pas
Tant qu’en alsace…nous sommes..bien à l’abris…moi je ne vois pas de lézards..!!!….
Sa femme toubab doit être aussi poursuivie(c’est bien cités Corine et Yves)…ce monsieur aime trop l’argent facile et est toujours à la recherche des voies et moyens d’extorsion de fonds….argent qui ne lui serve qu’à payer les services des gamines juste pour lui caresser la bedaine…Niker n’étant plus vraiment son fort….champion en retournement de veste politique et ses nombreuses surfacturations(travaux réalisés à la résidence de l’ambassadeur du Bénin)factures ahurissantes qui avaient amené Kerekou en ce temps à faire un déplacement à la résidence pour constater les malversations. .. et des détournements (au consulat) quand il était au poste d’ambassadeur en France…
Il s’arrange tout pour s’en sortir mais j’espère que cette fois-ci il pourra payer ses forfaits.
Voilà l’un des nombreux cadres incons.cients, vendus à cause de qui l’autre vo.leur dé.bile traître le Bénin de désert de compétences.
Affaire Bengaz : La genèse et l’évolution des manigances de Me Yves Edgar Monnou
QUI EST PROPRE AU BENIN ?
QUI NE MANIGANCE PAS AU PAYS DE YAYI BONI OU DE TALON ?
QUI N’A PAS DE GENESE DANS SES PETITES AFFAIRES ?
TANT QUE QUELQU’UN N’A PAS ETE PRIS LES MAINS DANS LE SAC AU BENIN , IL PARAIT TJOURS PROPRE.
DONC ARRETEZ DE JETER LA PIERRE A MONNOU .
DU TEMPS DE KEREKOU , 95% DE SES MINISTRES ETAIENT CORROMPU .
LES 5% RESTANTS , C’ETAIT KEREKOU LUI-MEME .
Cette fois il est cuit Yves monnou , les petits juges de adjaka notre tchatchabloukou vont l’avoir Yves , ces appuis politiques n’y pourront rien , ces petits juges ( petits , par leur âge ) sont brillants , coriaces , et jaloux de leur indépendance