Le président de l’institution parlementaire est revenu dans son discours d’ouverture de la deuxième session ordinaire de l’année 2017, session qui sera prioritairement consacrée à l’étude au vote du budget de l’Etat exercice 2018.L’un des axes majeurs du discours du président de l’Assemblée nationale Adrien Houngbédji à l’ouverture de ladite session est le système partisan. Il a une fois encore posé le diagnostic sur l’état de ce système partisan.
Il en résulte que ce système a montré ses limites selon le parlementaire. « C’est l’une des faiblesses de notre expérience démocratique » a insisté le président de l’Assemblée nationale qui a convié la représentation nationale à la prise des initiatives courageuses capables de favoriser l’émergence de grands partis politiques.
Financement des partis politiques dans le cadre légal
Visiblement, la deuxième personnalité de l’Etat souhaite que les acteurs politiques, notamment les parlementaires puissent travailler à assurer un financement public adéquat. et non des financements à titre occultes, un financement régulier qui aura pour conséquence le contrôle des activités des partis. D’un autre côté, il a espéré que cette réforme puisse mettre un terme au nomadisme et à la transhumance politique. Une vision que partagerait le chef de l’Etat qui l’a mis à la première loge de ses réformes politiques.
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