A l’instar de la plupart des projets et réformes entrepris par le gouvernement, le Recensement administratif à vocation d’identification de la population (Ravip), est entouré de mystères. Selon un membre de la Commission nationale de supervision, le gouvernement en avait fait son affaire personnelle et ne voulait associer personne à ce projet.
Quelques jours après son lancement, on se rend compte au fil des jours que le Ravip est un autre scandale d’Etat. Il en réunit tous les ingrédients. De la conception du projet à la réalisation, tout a été caché soigneusement au peuple. En dehors de l’opérateur technologique Safran choisi dans des conditions non encore élucidées, le montant du projet n’est pas dévoilé. Même le jour du lancement du projet et de l’installation de la Commission nationale de supervision a été gardé secret.
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