Tension USA – Mexique : Donald Trump enfonce le clou avec une nouvelle annonce

Donald Trump envisage d’envoyer l’armée américaine à la frontière avec le Mexique afin de lutter contre l’arrivée massive de migrants.La tension est palpable au niveau de la frontière américano-mexicaine. En effet, le président américain Donald Trump vient tout récemment de déclarer vouloir envoyer l’armée américaine sur place afin de protéger la zone, rendue poreuse selon lui, à cause du laxisme des autorités mexicaines.

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En effet, c’est à l’occasion d’une rencontre organisée avec les présidents des pays baltes que le pensionnaire de la Maison-Blanche a expliqué que l’armée devrait rester sur place jusqu’à que ce que le fameux mur censé marquer la frontière entre États-Unis et Mexique, soit totalement érigé. Une annonce choc qui a obligé l’ambassadeur du Mexique aux États-Unis à demander des explications aux autorités américaines. De son côté, le ministre Mexicain des affaires étrangères a assuré que son pays se réservait un droit de réponse en fonction des explications rendues à l’ambassadeur.

Si l’armée américaine ne peut théoriquement pas intervenir sur son sol, celle-ci eut cependant apporté assistance. C’était notamment le cas en 2010, toujours à cette même frontière ainsi qu’en 2006-2008. Une manière pour Donald Trump de mettre la pression au congrès des États-Unis pour que celui-ci agisse dans le but d’empêcher l’afflux massif de clandestins sur le sol américain.

Un regain d’intérêt soudain pour Trump et les États-Unis, qui s’expliquerait particulièrement par une photo qui a été de nombreuses fois partagées sur les réseaux sociaux. En effet, une caravane de migrants venant du Honduras et souhaitant se rendre aux États-Unis a été photographiée. Pour le moment, ceux-ci se trouveraient dans le sud du Mexique. Forte de mille personnes, cette « caravane » a tout de même provoqué une véritable onde de choc puisque Trump a demandé au Mexique de les empêcher d’arriver sur place. Chose que n’aurait pas faite le gouvernement en proposant plutôt à ces migrants, des visas humanitaires ou des permis de libre circulation

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