Comme au Bénin, les autorités togolaises ont décidé de rendre la vie dure aux cybercriminels. La police a, ces derniers jours, multiplié les descentes pour arrêter des supposés cybercriminels.Ce n’est plus un secret. Le phénomène de « gaymen » est d’actualité dans plusieurs villes en Afrique. Dans certains pays où le phénomène est d’actualité, les autorités ont décidé d’agir pour faire reculer le phénomène qui a pris de l’ampleur ces dernières années.
Face à la montée des sacrifices humains -la nouvelle trouvaille des cybercriminels- les forces de l’ordre ont décidé d’agir. C’est le cas au Bénin, où depuis plusieurs jours les forces de sécurité ont intensifié les actions et procédé à de multiples arrestations(à lire ici). La semaine écoulée, le directeur Général de la police républicaine avait même invité les cybercriminels à se rendre(à lire ici) assurant que la justice ne manquera pas d’examiner avec « bienveillance leur situation ». Au Togo voisin, les forces de sécurité ne sont pas restées bras croisés. Depuis quelques jours, les forces de sécurité ont également décidé de mener une lutte implacable contre ce phénomène qui n’a que trop duré.
Des « gaymen » provenant du Bénin
Selon certains témoignages des populations, le phénomène des « gaymen » s’est aggravé au Togo depuis la vaste opération menée par la police républicaine du Bénin contre ceux-ci. Les « gaymen » béninois qui ont pris la clé des champs avec la traque conduite par les forces de sécurité béninoises se seraient donc rendus au Togo voisin à en croire les informations qui circulent sur les réseaux sociaux.
Cette thèse est soutenue par des agents immobiliers qui ont confié à certaines sources que des individus sont rentrés en contact avec eux pour obtenir des logis dans Lomé ou des quartiers environnants. Pour parvenir à faire reculer le phénomène, les forces de sécurité togolaises invite les populations à une franche collaboration et surtout à dénoncer les individus « aux activités suspectes ».
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