La vie, ne nous fait pas toujours de cadeaux. On peut être amené, à vivre des situations vraiment terrible, et malheureusement, c’est situation peuvent nous suivre pendant longtemps.L’avènement, des groupes terroristes, comme l’État islamique, a donné un nouveau visage, au terrorisme international. Même si les attentats kamikazes, font toujours partie de leur mode opératoire, Daesch, utilise des moyens plus odieux, et plus dégueulasses les uns que les autres. La décapitation est devenue, l’une de leurs méthodes préférées. En plus, de ses assassinats barbares, Daesch, s’est constitué, en une véritable organisation de criminel, qui pratique, tous genres de trafics. Au nombre de ceux-ci, il y a le terrible trafic d’êtres humains. Aschwaq, une jeune Kurde de 18 ans, appartenant à la minorité yézidis, persécutés par l’État Islamique, avait été kidnappé en 2014, par l’organisation terroriste.
Elle fut ensuite vendue, pour quelques dollars, à un combattant de Daech, du nom d’Abu Humam. Elle a alors vécu, un véritable enfer. Convertie de force à l’islam, elle a été violé plusieurs fois par son ravisseur, pendant de nombreux mois.
En compagnie, d’autres captives, et réussissant à élaborer un stratagème, elle réussira à s’échapper. Avec des membres de sa famille, elle arrive à obtenir l’asile en Allemagne. La jeune fille, et sa famille, s’installe près de Stuttgart et entame un difficile travail de reconstruction. Elle prend des cours, et apprend l’allemand.
Mais le destin, va s’acharner, une nouvelle fois, contre elle, une journée de février. Alors qu’elle se trouvait dans la rue, elle fut abordée par un homme. Qu’elle ne fut pas sa stupéfaction, quand elle découvrit le visage de son bourreau, Abu Humam. L’homme, sans gêne, rappela à la pauvre fille, qu’il a été son ravisseur en Irak, et qu’il connaissait dans les moindres détails, sa nouvelle vie en Allemagne.
Terrifié, Aschwaq, contacta la police, pour que des mesures soient prises. Mais ces derniers, ont malheureusement révélé qu’ils ne pouvaient rien faire, car Abu Human, bénéficiait aussi d’un statut de réfugié en Allemagne.
Les autorités policières, ont aussi déclaré, qu’ils n’arrivaient pas à joindre ce dernier, ce qui entrave à une possible enquête. Quel effarant paradoxe. Devant l’horrifiante perspective de vivre, à nouveau, à côté de son bourreau d’hier Aschwaq, décida de rentrer en Irak.
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