Il y a quelques semaines, les autorités sud-africaines, avaient entériné un projet de réforme agraire. Et il faut dire que cette politique foncière, a suscité des controverses au-delà du territoire sud-africain.Donald Trump, le président américain, a vivement critiqué, cette réforme, que l’État Sud Africain veut entreprendre. Il a notamment déclaré, que ce projet est illégal, et qu’il vise à brimer les fermiers blancs. Il faut dire, que Cyril Ramaphosa n’a eu guère de choix, car il subissait de multiples pressions de la part de certains cadres de l’ANC, et d’autres acteurs de la scène politique sud-africaine, à l’image de Julius Malema.
Selon les premières autorités, de la nation arc-en-ciel, cette réforme, vise à réparer une « injustice historique » grave, qui a été commise durant la période coloniale, et l’apartheid, et qui a eu, des répercussions énormes sur la majorité de la population noire.
En visite d’État du côté de l’Afrique du Sud, la première ministre Britannique, Theresa May, n’est pas allée dans le même sens, que Donald Trump. Elle a notamment déclaré, que la Grande-Bretagne, validait le projet de réforme agraire.
S’adressant à des journalistes, elle a notamment affirmé ceci:
« La Grande-Bretagne soutient depuis quelque temps la réforme foncière. Une réforme foncière qui est légale, qui est transparente, qui émerge d’un processus démocratique »
Sur cette question donc, les autorités britanniques sont clairement en désaccord, avec leur allié historique américain.
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