USA : la nouvelle charge de Trump contre ses alliés européens

Aux Etats-Unis, Donald Trump a décidé de faire passer un message à ses alliés européens qui, selon lui, se reposent un peu trop sur l’influence américaine. Un problème qui, selon lui, est en passe d’être réglé.Pointé du doigt depuis qu’il a officialisé le retrait des forces américaines du sol syriennes et la démission de son ministre de la Défense, Jim Mattis, le président américain Donald Trump a décidé de réagir… En chargeant certains de ses alliés européens qui, selon lui, se reposent un peu trop sur l’influence américaine.

Sur Twitter, Trump attaque Mattis et ses alliés européens

Comme très souvent avec ce dernier, c’est via Twitter que le message a ainsi été transmis. Accusé par certains sénateurs démocrates d’isoler un peu trop les États-Unis sur la scène internationale, en décidant notamment de lâcher ses alliés, le président Trump a confirmé qu’il voyait d’un excellent œil les coalitions et le travail commun à partir du moment où chacun y met du sien. En effet, selon lui, certains profitaient et profitent encore un peu des États-Unis et de leur influence aux niveaux militaire et économique. « Le général Mattis ne voyait pas ça comme un problème. Moi si, et c’est en train d’être réglé » a-t-il d’ailleurs conclu.

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Une référence directe à la lettre de démission adressée par le général Mattis au président Trump. En effet, dans un message transmis au chef de l’État, le ministre de la Défense l’exhortait à « traiter les alliés avec respect ». Une mise en garde à peine voilée concernant la décision du président, de renvoyer les troupes américaines, « à la maison ». 

Téhéran et Moscou, gagnants de la stratégie américaine

En effet, si Washington a estimé que le travail accompli était terminé, Paris ou Londres, alliés des États-Unis, resteront sur place, assurant au passage qu’il restait encore énormément de choses à faire en matière de lutte contre le terrorisme. Une manière de critiquer la décision américaine, qui les oblige à terminer le travail sans leur appui.

De son côté, Israël se retrouve également en première ligne face à la Syrie, mais surtout face à l’Iran, accusé par l’État hébreu de vouloir faire de Damas sa tête de gondole en vue de s’implanter dans la région. La présence américaine leur servait notamment de rempart, de bouclier. Aujourd’hui, Téhéran semble être, avec Moscou, les grands gagnants de la stratégie américaine.

Une réponse

  1. Avatar de OLLA OUMAR
    OLLA OUMAR

    Ce trump.parle gbêh á ses alliers hein ,! Celui qui est fort est vraiment fort dêh !

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