Russie : Des centaines d’espions étrangers démasqués, réaction de Poutine

Le président Vladimir Poutine, dans un exercice très régalien recevait des officiers russes chargé de la Sécurité, de la défense et du renseignement, ce mercredi. Une occasion pour le Locataire du Kremlin de féliciter les services spéciaux russes (FSB) pour avoir mis hors d’état de nuire près de 600 agents infiltrés étrangers en activité sur le territoire ; mais aussi pour les appeler à une vigilance accrue.

Protéger à tout prix ses secrets militaires

Dans son allocution, le président Poutine s’est dit heureux d’avoir défait les tentatives étrangères de percer à jour ses données sensibles ; « Les services de renseignement étrangers cherchent à obtenir par tous les moyens des informations (…) Grâce à des opérations spéciales réussies, les activités de 129 cadres et de 465 agents des services spéciaux étrangers ont été arrêtées ». Mais a-t-il tenu à préciser, leur nouveau leitmotiv aux agences de renseignement sera de les protéger à tout prix ; « vous devez augmenter votre efficacité. Comme auparavant, et peut-être même plus que jamais ».

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Une recommandation qui intervient au lendemain de l’annonce de Vladimir Poutine du développement par la Russie de nouveaux missiles hypersoniques qui voyageraient à une vitesse cinq fois supérieure à celle du son. De nouveaux armements encore en cours d’élaboration et qui seraient sensés faire du pays un leader dans le domaine, puisque dit-il, ces missiles seraient « invincibles ».

Une boite de pandore ouverte par les états Unis

Le président Poutine , selon la presse internationale, très désireux de redonner à la nouvelle Russie sa gloire d’antan, se serait donné beaucoup de mal pour arriver à concilier ses ambitions couteuses à ses moyens économiques. D’ailleurs lui-même en serait conscient puisqu’il aurait précisé à son Ministre de la Défense Sergei K. Shoigu ; « Nous ne devons pas et ne nous laisserons pas entraîner dans une course aux armements coûteuse ». Seulement, la volonté des USA de quitter le traité signé entre les deux pays en  1987 interdisant des missiles terrestres d’une portée de plus de 500 km ; aurait semble t-il, vaincu en Russie certaines réticences politiques.

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