Carlos Ghosn : Rachida Dati peut pousser un ouf de soulagement

Le constructeur japonais se serait inquiété du fait que l’utilisation des fonds partagés RNBV manquait de transparence et qu’il n’ait peut-être pas servi les intérêts de la société autant que ceux de Renault ou de Ghosn lui-même. De ce fait, des frais de consultants et d’avocats douteux auraient mis en évidence une probable implication de Rachida Dati, ancienne garde des Sceaux et engagée par la filiale du groupe.

Pas d’enquête du parquet National financier

Selon un média français, l’ancienne ministre de la Justice Rachida Dati, qui avait travaillé pour RNBV, en tant que conseillère juridique peu après qu’elle ait quitté le gouvernement du président Nicolas Sarkozy en 2009 pour se porter candidate au Parlement européen ne ferait pas, du moins pas encore, l’objet de poursuite pour dissimulation de revenus et enrichissement illicite, citant un démenti du Parquet National Français Financier.

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Cependant, rapporte la presse internationale, Les relations entre Renault-Nissan BV et Dati n’étaient pas connues de Nissan, qui cofinançait pourtant la participation, selon une déclaration  du porte-parole du constructeur, Travis Parman. Pourtant selon l’avocat de la députée ‘’Les républicains’’, au parlement européen en 2009, Olivier Pardo, la mission de l’avocate était  « une mission très large et de grande envergure ».

Dati avait été embauchée par RNBV en octobre 2009, quatre mois après avoir quitté le gouvernement de Sarkozy, et maintenue en fonction jusqu’en février 2013. Et La décision de mettre fin à son contrat avec RNBV a été prise en octobre 2012, selon Pardo, cinq mois après que François Hollande ait succédé à Nicolas Sarkozy en tant que président français. Seulement, rapporte la presse, la femme politique alors en fonction pour la ‘’Haute Autorité Européenne pour la transparence de la vie publique’’ n’aurait fait nulle part mention de son travail à la RNBV et encore moins des 600 000 EUR de rémunérations perçues ; mais pour Me Pardo, l’activité de sa cliente serait « un mandat qui respectait les règles applicables aux avocats ». Et le Parquet Financier semblerait lui donner raison.

Une réponse

  1. Avatar de Mohammed
    Mohammed

    Dati est une escroc seul l’argent l’intéresse même l’argent sale.

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