Mark Zuckerberg : un ex-camarade à l’origine de Facebook veut le voir en prison

Aaron Greenspan, l’ancien compagnon de faculté de Mark Zuckerberg, ferait autorité en matière d’informatique et de conception logicielle. Mais sa véritable notoriété viendrait du fait que l’informaticien serait à la genèse du programme Facebook, et que le patron de Facebook Inc. le reconnaissait volontiers. Mais pour Greenspan, le réseau social ne serait qu’une monumentale escroquerie.

Mark Zuckergerg ne serait qu’un ‘’gros escroc

Aaron Greenspan, Il est le fondateur, président et chef de la direction de Think Computer Corporation, un service de conseil en informatique. En 1999, Greenspan aurait remporté, rapporte la presse américaine, le premier prix du jeune entrepreneur en informatique de l’année. Il a également reçu le prix Kodak Young Leaders et a pris la parole à divers endroits, notamment au Centre spatial Kennedy de la NASA.

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En janvier 2019, Aaron Greenspan publiait un rapport de 75 pages clamant que plus de la moitié des 2,2 milliards d’utilisateurs de Facebook, seraient factices, « Facebook a menti au public sur l’ampleur de son problème avec les faux comptes, qui dépassent probablement 50% de son réseau (…) Ses statistiques officielles, dont beaucoup ont cessé de faire rapport tous les trimestres – sont contradictoires et même ridicule » ajoutant que  « La société a perdu le contrôle de son propre produit ».

Selon la presse internationale, la société de Zuckerberg vaudrait près de 600 milliards de dollars en capitalisation et si les allégations de Greenspan était avérées, l’escroquerie porterait donc sur près de 300 milliards. Une situation que les médias expliqueraient par une des impératives de l’économie boursière qui voudraient que pour se maintenir dans les bonnes grâces des actionnaires, la direction de Facebook se devait d’annoncer et donc de justifier une croissance régulière. En juillet 2018, rapporte le média, Zuckerberg dans un accès de trop grande sincérité avait annoncé la stagnation du flux de croissance ce qui aurait eu pour conséquence d’affoler les marchés, et de faire perdre à l’action plus de 100 milliards.

Mais pour Greenspan, cela ne justifiait en rien les faux rapports et autre fausses déclarations des instances dirigeantes de la compagnie et encore moins la multitude de faux comptes créées par la plate-forme, et cette opacité sur son réel mode de fonctionnement qui aurait conduit sur les dérives au cours de la campagne présidentielle de 2016. Pour cette raison et toutes les autres, Grenspan jugerait que Zuckerberg, se devait d’être considéré comme un criminel en puissance.

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