Huawei : malgré la tension avec Trump, le Kenya rejoint l’Afrique du Sud et lui renouvelle sa confiance

La guerre commerciale que se livre les Etats-Unis et la Chine a de nombreuses répercussions dans divers domaines du commerce international. De plus, depuis que les deux superpuissances mondiales sont entrés en conflit sur le plan commercial, les marchés boursiers internationaux sont devenus très instables. Huawei, le géant chinois des télécoms est pris en plein milieu de cette guerre commerciale.

L’administration Trump a sévèrement sanctionné le groupe chinois en lui interdisant l’accès au marché américain. Les autorités américaines accusent Huawei de collaborer avec le gouvernement chinois et ses services de renseignements pour nuire aux intérêts américains. Selon Washington, Huawei est une menace pour la sécurité des réseaux et systèmes numériques au plan mondial.

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La cote d’Huawei reste élevée

Face à la posture américaine concernant Huawei, certains pays ont décidé de faire confiance au groupe chinois des télécoms, c’est par exemple le cas de l’Afrique du Sud. Il y a quelques semaines, lors d’un forum économique à Johannesburg, Cyril Ramaphosa, le président sud-africain a affirmé qu’il fait totalement confiance à l’expertise d’Huawei pour développer le domaine de la technologie en Afrique du Sud.

Le Kenya emboîte le pas de l’Afrique du Sud

Pour le dirigeant de la nation arc-en-ciel, Huawei possède une avance technologique indéniable sur ses concurrents. Un autre pays vient d’affirmer sa confiance à Huawei, il s’agit du Kenya. Les autorités kényanes ont notifié que malgré la guerre commerciale que se livrent les USA et la Chine, ils font entièrement confiance dans le savoir-faire d’Huawei. Il faut dire que la firme a lancé plusieurs projets d’envergure au Kenya. « Nos politiques ne sont pas dictées par les politiques américaines en matière de technologie. Nous choisissons ce qui est le mieux pour nous. Nous n’allons pas être liés à ce que les autres personnes disent, mais nous allons nous assurer que nos citoyens en auront pour leur argent » dira le ministre kényan des Technologies de l’Information et de la Communication

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