Jean-Marie Bigard a une dent contre Muriel Robin et la remet à sa place

Jean-Marie Bigard, homme de spectacle et de culture français, revenait ce dimanche, alors invité sur le plateau de Christophe Beaugrand ; sur la polémique suscitée dans le courant du mois de février par un de ces sketchs humoristiques qui pour beaucoup aurait fait l’apologie du viol. Si cette période fut une période difficile pour l’acteur humoriste, ce serait cependant révélait-il, la trahison de celle qu’il prenait pour une amie qui l’aurait le plus touché.

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Une histoire d’amitié « brutalement » terminée

En février, Jean-Marie Bigard, spécialistes des blagues un peu salaces et osées, faisait sur une émission de ‘’ Touche pas à mon poste’’ (TPMP), une blague très peu appréciée. Un écart qui aurait valu à l’humoriste, une sanction du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel (CSA) et l’annulation de plusieurs dates de représentations à travers la France ; mais aussi et surtout, un commentaire plutôt accusateur d’une collègue et amie, Muriel Robin.

Muriel Robin sur son compte Facebook, alors que Bigard, était en proie à mille tourments et ne savait plus où donner de la tête, écrivait à l’encontre de l’humoriste qu’il « devait être puni ». Une remarque ‘’violente’’ selon Bigard, surtout venant, avait-il souligné, d’une amie ; « Mais Muriel, ce n’est pas toi ! Ce n’est pas mon amie de 33 ans qui dit ça ! Tu sais ce que je fais ! » Aurait-il répondu. Une invective à laquelle la femme de spectacle avait tout de suite répliqué, qu’elle ne se considérait nullement comme étant son amie ; quand bien même ils auraient cercles relationnels communs ; « je n’ai pas vu Jean-Marie depuis 1996, c’est à dire depuis 23 ans. » avait-elle réagi.

Ce dimanche encore avec, Christophe Beaugrand, Bigard visiblement encore très affecté par la « trahison » de son amie déclarait de son verbe coloré ; «  Je ne pouvais pas m’attendre à me faire poignarder (…) par ce que j’appelle une amie, (…) Mais bon, moi je maintiens qu’on a eu trente ans d’amitié, tu vois, à peu près. Donc là, ça a mis un terme évidemment un peu brutal à cette histoire ». Et puisqu’ils n’étaient plus amis, Bigard, n’avais pas hésité à accuser Robin d’avoir au cours de l’un de ses sketchs fait « l’apologie du racisme ». Une accusation à laquelle Robin avait répondu que son assertion n’était que pure rhétorique ; « ce n’est pas moi qui parle, c’est le personnage de ma mère ! » aurait-elle répliqué ; et Bigard de conclure que dans ce cas, en février ; ce n’était pas lui Bigard ; «qui en**le la dame, c’est le docteur ! ».

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