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Patrice Talon au sujet du ZLECAF: «que nous puissions bâtir et développer le plus grand marché mondial»

A l’ouverture du 12ème Sommet extraordinaire des chefs d’Etat et de Gouvernement de l’Union Africaine hier, le Bénin a marqué son adhésion à la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAF). En posant l’acte, le président Talon a voulu que son pays participe à la concrétisation d’un rêve continental.Le Bénin adhère à la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAF). Le président Patrice Talon a ratifié l’accord au début du 12ème Sommet extraordinaire des chefs d’Etat et de Gouvernement de l’Union Africaine qui s’est ouvert dimanche 7 juillet 2019 à Niamey au Niger. Le nigérien Mahamadou Issoufou, aussi.

L’appel de Talon

D’après les propos du chef de l’Etat béninois rapportés sur la page facebook de la présidence de la République il y a quelques instants, on comprend sa motivation en accord avec ses pairs du continent. «L’ambition qui sous-tend l’avènement de cette zone est qu’ensemble, nous puissions bâtir et développer le plus grand marché mondial, riche de 1,2 milliard de consommateurs réguliers.» lit-on.

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«L’entrée en vigueur de la zone de libre-échange africaine est l’évènement le plus important dans la vie de notre continent depuis la création de l’Organisation de l’Unité Africaine et sa transformation en Union Africaine » déclarait son homologue nigérien. «Tous ensemble, restons unis pour bâtir l’Afrique», lance Patrice Talon.

2 réponses

  1. Avatar de (@_@)
    (@_@)

    « bâtir et développer le plus grand marché mondial ». il y a loin de la coupe aux lèvres (rien n’est fait…).

    L’Afrique entière : moins de 1% du marché mondial…

    Cependant cette décision est la bonne. L’époque impose de faire passer les intérêts nationaux dans le cadre de ceux, à la mesure des enjeux continentaux. La concurrence elle, est déjà en route et marche d’un bon pas.

  2. Avatar de [
    [

    « bâtir et développer le plus grand marché mondial ». il y a loin de la coupe aux lèvres (rien n’est fait…).

    L’Afrique entière : moins de 1% du marché mondial…

    Cependant cette décision est la bonne. L’époque impose de faire passer les intérêts nationaux dans le cadre de ceux, à la mesure des enjeux continentaux. La concurrence y est déjà et marche d’un bon pas.

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