La bataille juridique entre la star américaine ‘’déchue’’ du R&B et son ex-épouse, Andréa Kelly serait en passe de devenir une saga en elle-même. Après les récurrentes interjections de la cour, à l’initiative d’ailleurs de dame Kelly, pour rappeler à l’artiste ses devoirs paternels, les ex-conjoints se livrent à une autre joute juridique, celle du respect d’une clause arrêté au moment de leur divorce.
Une mutuelle violation
Au cours de la bataille juridique pour leur divorce en 2009, Robert et Andréa Kelly, se seraient entendus sur la clause expresse de non divulgation de « tout récit de leur vie privée, leurs activités commerciales, leurs relations réciproques, leur mariage ou les circonstances de la dissolution». Seulement ce Mardi, les avocats de Kelly déposaient une plainte affirmant que Andréa aurait non seulement, contrevenu à cet accord, mais en aurait tiré parti et en sus dans un show public ; « Growing Up Hip Hop« , une émission de télé-réalité. « Drea a deux types de revenus: la pension alimentaire pour enfants provenant de R. Kelly et ses déballages en public » déclarait en substance Steve Greenberg, l’avocat du musicien.
Attitude « hypocrite » rétorque les avocats de l’ex épouse, avançant que le chanteur aurait été le premier à violer cette clause lors de la publication en 2012 de son livre, Soulacoaster: Le journal intime de moi. Dans cet ouvrage, selon les avocats de Andréa, le chanteur y aurait fait des allusions ‘’croustillantes’’ sur son mariage et son divorce d’avec son ex-femme. Pour Andréa donc, R. Kelly n’aurait brandi cette clause que pour « la punir; pour avoir fait valoir ses droits devant le tribunal des relations familiales et l’avoir contraint à respecter ses obligations financières ».
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