Affaire Epstein : Une vidéo qui met en difficulté le Prince Andrew dévoilée (vidéo)

Le Duc D’York, second fils de la reine d’Angleterre, était accusé par Virginia Roberts, la plaignante dont l’accusation serait la plus complète contre le milliardaire financier Epstein, d’avoir eu avec elle des ébats sexuels coupables ; Roberts étant mineure à cette époque. Après des dénégations du Prince et de la Couronne britannique, une vidéo révélée aujourd’hui, tendrait à confirmer les accusations de Roberts.

Quand l’Etau se resserre…

Sur la vidéo publiée en exclusivité par l’hebdomadaire britannique conservateur, le Daily Mail Sunday, on pouvait voir le prince Andrew, à la porte de la maison de Jeffrey Epstein à Manhattan en compagnie d’une jeune femme brune. Nous étions le 6 décembre 2010. Une fois la jeune femme raccompagnée, on pouvait voir le Prince dans une attitude coupable scruter les alentours de l’immeuble comme pour se convaincre que la scène n’aurait pas été surprise. Seulement une heure plus tard tôt, selon le média, C’était Jeffrey Epstein lui-même qui était vu quitter les lieux en compagnie de Virginia Roberts.

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Las où le bât blesse, était que ce serait en 2010,  que se situerait le début des délits d’Epstein en tant que  délinquants sexuel pédophile. Et Virginia Roberts, en l’occurrence qui aurait affirmé qu’Epstein l’utilisait comme esclave sexuelle, aurait rédigé quelques heures avant le suicide du financier, un pamphlet accusateur contre Epstein, mais dans lequel elle aurait également mentionné avoir à trois reprises eu des relations sexuelles avec le Prince Andrew. Leurs premiers ébats remontant justement à 2010 au  ‘’Manoir’’ New Yorkais du financier, Roberts avait 17 ans.

Des allégations, soumises à un tribunal en 2014, si elles avaient été incriminantes pour Epstein, auraient été rejetées par un juge, en ce qui concernait le Prince Andrew. Le juge ayant en sus ordonné que ces déclarations précises de Roberts sur le Représentant spécial du Royaume-Uni pour le commerce international, soient radiées du dossier pour « immatérielles et impertinentes » ; confortant Le palais de Buckingham dans sa dénégation des méfaits du Prince.

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