• À propos
  • Contactez-nous
  • Charte du site
  • Archives
dimanche, janvier 24, 2021
dimanche, janvier 24, 2021
Connexion
Menu
La Nouvelle Tribune
Recherche
Pas de résultat
Voir tous les résultats
La Nouvelle Tribune
Pas de résultat
Voir tous les résultats
La Nouvelle Tribune
Accueil A la une

Guerre en Syrie : comment Erdogan écarte Trump pour Poutine et Rohani

Par Florian Guénet
il y a 1 an
(très populaire)
Commenter
Photo "Umit Bektas / Reuters

Photo "Umit Bektas / Reuters

FacebookTwitter

A lire

Explosion dans une église : enquête ouverte aux USA

Image DR

USA : âgée de 36 ans elle meurt du coronavirus après son 10ème enfant

Voir plus d'articles

Depuis plusieurs semaines, la Turquie semble avoir décidé de se tourner vers de nouveaux alliés, à savoir l’Iran et la Russie, mettant Washington de côté. On se souvient de l’affaire des systèmes de défense S-400 russes, achetés par Ankara, ce qui a fortement déplu au président Trump. Un nouveau grain de sel dans l’engrenage, qui a fortement aidé à détériorer les bonnes relations entre les deux nations.

Aujourd’hui, plus que cette affaire, ce sont les distensions entre les deux nations sur divers points, comme la guerre en Syrie ou le dossier iranien qui posent problème. D’ailleurs, il y a quelques jours, la Turquie a tenu un sommet extraordinaire au cours duquel elle a pu s’asseoir autour d’une table avec la Russie et l’Iran. Au cours de cette rencontre, les trois dirigeants ont pu évoquer la stratégie à adopter concernant la région d’Idlib, ainsi que la formation d’un Comité constitutionnel en Syrie.

Washington, oublié par Ankara

Si les trois nations se rapprochent, tout n’est toutefois pas encore gagné. Il y a quelques jours, la Russie annonçait la fin de la guerre en Syrie. Toutefois, du côté turc, une bataille reste à mener du côté du Nord, Ankara souhaitant se débarrasser des milices terroristes kurdes, présentes sur place. La décision américaine de créer une zone de sécurité dans la région, zone permettant aux kurdes de transiter tranquillement a finalement été annoncée. « C‘est inadmissible pour nous. » a cependant fustigé le président Erdogan.

Pour rappel, le gouvernement américain soutien fermement la coalition créée par les Forces démocratiques syriennes. Toutefois, du côté de la Turquie, on estime ces unités kurdes, comme étant des groupements terroristes. Les options définies par la zone de sécurité sont encore en négociations et Ankara comme Washington entendent bien imposer leur vision des choses. L’appui russe et iranien sur ce dossier pourrait d’ailleurs permettre à la Turquie de gagner du poids et peser un peu plus dans les négociations.

Une nouvelle ère ?

Le premier sommet tripartite entre la Russie, l’Iran et la Turquie s’est tenu en 2017. À l’époque, ce dernier s’était alors soldé par un appel au dialogue entre les partis engagés dans ce dossier, même si l’accent a été mis sur la lutte anti-Daesh et Front al-Nosra. Plusieurs mois plus tard, en avril 2018, tous s’accordaient à dire à la suite d’une seconde réunion, que le conflit militaire était la seule solution au problème syrien. Aujourd’hui, la tension est certes redescendue d’un cran, mais les discussions se sont intensifiées au sujet de la province d’Idlib, rare province dans laquelle des rebelles sévissent encore à ce jour. Toutefois, il convient de noter que la solution militaire est désormais secondaire et, qu’à ce jour, Iran, Turquie et Russie semblent vouloir favoriser le dialogue.

Nous vous recommandons

Alexandria Ocasio-Cortez - Photo : AP
Politique

USA : un homme accusé d’avoir menacé une élue démocrate

Photo : DR
Faits divers

USA : arrêtée pour avoir détourné l’argent d’enfants malades

Voir plus d'articles

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.

Dernier commentaire

  • sultan aziz dans Présidentielle 2021 au Bénin : Talon a choisi une colistière
Facebook Twitter Instagram RSS
Google News

Cliquez ici pour nous suivre sur Google News. Recevez des notifications depuis votre application de Google sur téléphone, ou des infos de dernière minute sur votre ordinateur.

A ne pas rater

Photo : DR
A la une

Bénin : Les Evêques fustigent la banalisation des acquis de la conférence nationale de février 90

Liens utiles

  • À propos
  • Contactez-nous
  • Charte du site
  • Archives

© 2019 La Nouvelle Tribune

Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • A la une
  • Bénin
  • Politique
    • Conseil des ministres
  • Société
    • Education
    • Culture
    • Communiqué
  • Economie
  • Les grandes Interviews
  • Santé
  • Bien-être
  • Insolite
  • Sport
  • Science & Tech
  • People
  • Opinion
  • Proverbes

© 2019 La Nouvelle Tribune

Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web. Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait. Si vous désactivez les cookies, votre expérience sur le site sera fortement compromise.OkNonEn savoir plus