Alors que son plan pour le Brexit est sans cesse rejeté par la chambre des communes, le Premier ministre britannique Boris Johnson, s’est donné un peu d’air à l’Onu ce mardi, en évoquant un autre sujet qui le passionne: les progrès technologiques actuels. Dans son discours devant les nations unies à New York aux Etats Unis, le successeur de Theresa May a insisté sur les inconvénients des nouvelles technologies d’une manière cocasse, déclenchant ainsi les rires de son auditoire.
Des villes remplies de détecteurs
Boris Johnson a en effet parlé de villes remplies de détecteurs qu’il compare à une « pharmacie zurichoise ». Il a poursuivi en interrogeant la fiabilité des données informatiques sur les espoirs et la vie de l’être humain. Dans son intervention qui a duré au moins vingt minutes, le Premier ministre britannique a pris l’exemple des assistantes numériques qui selon lui feignent de répondre aux ordres des utilisateurs, mais qui finiront par les épier.
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Il nie l’idée d’un pessimisme contre la science
Sur le plan alimentaire, Boris Johnson a posé la question sur les progrès de la biologie de synthèse. Ainsi tout en niant l’idée d’un pessimisme contre la science, il a demandé si la biologie de synthèse pourrait permettre de rétablir des tissus ou apporter des poulets dépourvus de pattes. Par ailleurs, le premier ministre britannique a montré son côté optimiste sur les nouvelles technologies, soulignant leur effet libérateur.
Rappelons que Boris Johnson a récemment essuyé un nouveau camouflet de la part de la cour suprême à Londres. Celle-ci avait jugé illégale la suspension du parlement britannique.
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