Joe Biden : quand Donald Trump prend sa défense face à Kim Jong-Un

L’actuel locataire de la Maison Blanche n’a visiblement pas apprécié les dernières attaques dont avait été victime son principal probable challenger aux prochaines élections américaines. En effet, Joe Biden avait été traité par le président Kim Jong-Un de « Chiens enragés » pouvant faire beaucoup de mal s’il était laissé en liberté.

Sur le réseau social de l’oiseau bleu, Donald Trump a pris la défense de son adversaire politique à l’origine de la procédure de destitution en cours. Si même en prenant sa défense, il n’a pu s’empêcher de lui lancer quelques piques, on retient de cette publication que le milliardaire républicain ne partage pas l’avis du dirigeant Nord-coréen.

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 » il n’est pas un “chien enragé” « 

Ce fut également une occasion pour lui, d’inviter son homologue à poursuivre les négociations sur la dénucléarisation complète de la péninsule coréenne. « Monsieur le président, Joe Biden est peut-être endormi et très lent, mais il n’est pas un “chien enragé”. Il est en réalité meilleur que cela » a notamment fait remarquer le président américain sur son adversaire.

Il s’est affiché par la suite dans sa publication comme la seule alternative possible pour Kim Jong-Un. « Je suis le seul à pouvoir vous permettre d’atteindre l’objectif qui doit être le vôtre. Vous devriez agir rapidement, et conclure un accord. À bientôt ! » a notamment ajouté le président américain.

Malgré la procédure de destitution

Depuis l’échec de la rencontre qui a eu lieu au Vietnam, les relations n’ont pas été très pacifiques entre les deux dirigeants. Les propos de Donald Trump interviennent également dans un contexte où il est accusé par les Démocrates à la Chambre des représentants d’user de son pouvoir pour affaiblir son challenger.

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“chien enragé” qu’il faut “battre à mort” : La violente charge de Pyongyang contre Biden

Ces accusations qui ont débouché sur une procédure de destitution font suite à l’échange téléphonique entre le président américain et son homologue ukrainien. Selon le contenu de ces échanges révélés par les services de renseignements, Trump aurait fait pression sur le dirigeant aux fins de mener des enquêtes sur l’ancien Vice-président américain.

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