Le Directeur général de l’Agence national pour l’emploi (Anpe), Urbain Amègbédji, s’est prononcé, samedi 09 novembre 2019 sur la question de ratification de conventions de prêts par le chef de l’Etat. Selon lui, cette permission accordée au président de la République via la nouvelle constitution permettra au pays de ne plus perdre des financements comme par le passé. C’était lors d’une conférence publique organisée par le Groupe de réflexion alternative et perspective (Grap).
La ratification de convention de prêts par le chef de l’Etat ne constitue pas un problème pour le Directeur général de l’Agence nationale pour l’emploi (Anpe). Au cours d’une conférence organisée ce samedi 09 novembre 2019 par le Groupe de réflexion alternative et perspective (Grap), groupe dont il est membre, Urbain Amègbédji a affirmé que cette décision issue de la révision de la constitution du 11 décembre 2019 n’est pas de nature à causer un quelconque tort au pays.
Pour lui, le fait d’autoriser le chef de l’Etat à faire des prêts sans aviser l’Assemblée Nationale n’est d’ailleurs pas nouveau. « Les gens disent qu’il va endetter le pays sans passer par l’assemblée nationale. Mais il endette déjà le pays sans passer par l’assemblée nationale. On lui a permis de le faire sous d’autres formes.», affirme Urbain Amègbédi.
D’après le Dg de l’Anpe, il y a très longtemps que le président de la République est autorisé à ratifier des conventions de prêts mais sous d’autres formes et bien plus onéreuses que celles dont il s’agit actuellement.
« L’Etat fait recours à d’autres sortes de financements à savoir les obligations, les bons du trésor, les PPP (Partenariat Public-Privé)… Avec le PPP, l’Etat peut contracter d’autres formes de financements et ces nouvelles formes ne sont pas soumises à la ratification de l’assemblée nationale. Or, ces nouvelles formes de financements sont plus chères que les financements concessionnaires. Quand vous faites un bon du trésor, obligation et tout ça PPP, c’est au minimum à des taux de 5, 6, 8, 12%.», soutient Urbain Amègbédji.
Le membre du Groupe de réflexion alternative et perspective (Grap) ne s’arrête pas là. D’après ses explications, cette autorisation de ratification de conventions de prêts accordée au chef de l’Etat est la bienvenue parce qu’au moment où le chef de l’Etat ratifiait sans passer par l’Assemblée Nationale, des conventions de prêts plus, le pays perd d’autres moins chères (dont le délai de payement est plus élastique et le taux d’intérêts bien moins cher, 1 % parfois), à cause des retards de ratification.
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« Ce n’est que justice que de dire que désormais pour ces financements qui sont beaucoup moins chers, qui nous permettent d’avoir un peu plus de sous pour payer à très long terme, le chef de l’Etat peut ratifier et rendre compte à l’assemblée nationale dans un délai de 90 jours », ajoute Urbain Amègbédji.
Ce monsieur ne raisonne pas, il résonne
Les gens n’ont pas compris le fond du problème. Au fait, le parlement du sang a du plomb dans l’aile et cela est du au faite qu’il n’y a pas d’opposition. Cela les empêche donc de bénéficier de la confiance des bailleurs. Alors talon666 recherche d’autres manières pour contourner le problème mais la réalité est que le problème demeure entier. Voilà l’objectif de toute cette gymnastique.
Combien de prets avions nous perdus du au retard de ratification par l’assemblee?
Le parlement de sang ne peux plus ratifier des prêts sérieux. Si non, comment expliquer que ces gens capables de modifier la constitution en une nuit parlent de retard pour la ratification de prêts. Ils font économie de vérité
Voilà encore un intellectuel malheureusement taré.
Ce n’est pas parce que le président endette déjà le pays par d’autres canaux qu’on va lui donner encore plus de latitude pour le faire. Et on parle de justice quand c’est des dettes qui vont être contractée pour des projets megalo au nom d’un peuple qui n’est plus représenté nulle part sur l’échiquier politique. Et c’est la jeunesse déjà en proie à des difficultés qui va croupir sous le poids de ces endettements irresponsables
Ce n’est même pas un intellectuel. C’est un taré « point barre »
Le thème « intellectuel taré » est une façon trop honorable de parler de pures tarés. En fait, rien d’intellectuel.
Mr amegbedji .vraiment je ne suis pas avec votre raisonnement raisonnement.
Parce que toi @Le feu tu comprends ce vocabulaire technique ???
Va là-bas
Je reviens
Le Plombier
Et finalement le plus taré de tout le blog. Félicitations cousin ! Tu as œuvré très fort pour le titre. C’est donc à toi. Garde le jalousement. Éyi zandé
Joel,
mdr…..
Amegbedji delire pour son strapontin. Il doit manger,… tu comprends non!