Il faut dépoussiérer le ballet national selon la danseuse chorégraphe Germaine Acogny

Patrice Talon a reçu en audience ce mercredi 08 janvier, la danseuse franco-sénégalaise Germaine Acogny au palais de la Marina. A sa sortie d’audience l’invitée du chef de l’Etat a levé un  coin de voile sur le sujet au centre de leurs échanges.

« J’ai eu l’honneur de rencontrer le président Talon quand j’ai reçu mon prix d’excellence de la Cedeao. Son intention en m’invitant ici, c’est de partager avec moi son grand désir de faire du Bénin le creuset culturel de l’Afrique » a-t-elle déclaré. Il faut dire que le chef de l’Etat n’a jamais caché son faible pour la culture béninoise. Il veut en faire dans son PAG un instrument au service du développement du Bénin.

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Donner une nouvelle vie à notre ballet national

Outre les biens culturels pillés par la France dont il souhaite le retour au pays, l’ex homme d’affaires veut semble-t-il promouvoir aussi la danse béninoise. Une danse que le ballet national promeut dans le monde depuis des années. Même s’il faut « dépoussiérer » ce ballet national selon Germaine Acogny.

« C’est vrai qu’au moment des indépendances, les ballets nationaux ont fait connaître l’Afrique. Mais maintenant pour asseoir notre indépendance, il faut que ce soit contemporain. Il y a des jeunes sur qui le ministère de la culture peut s’appuyer pour donner cette nouvelle vie à notre ballet pour qu’il soit goûté par tout le monde » poursuit-elle. Rappelons que Germaine Acogny est née au Bénin en 1944.

Une réponse

  1. Avatar de DODJIVI
    DODJIVI

    Germaine ACOGNY, franco-benino-sénégalaise….

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