La Reine Elizabeth II, ce lundi convoquait une réunion au sommet de la famille royale, une sorte de cellule de crise pour juguler au plus vite le malaise crée par l’annonce de l’intention du duc et la duchesse de Sussex de démissionner en tant que membres de la famille royale. Une réunion à l’issue de laquelle, la première personnalité du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord, aurait concédé au couple princier la possibilité de sortir du giron royal pour « une période de transition ». Mais pour Doria Ragland, belle-mère du prince Harry, cette décision même temporaire était salutaire.
Doria Ragland soulagée
La mère de Meghan Markle, Doria Ragland, aurait été la première, rapportait la presse anglaise, à saluer « la compréhension » de la Reine. La femme de 63 ans s’étant confiée à une de ses amies, avait dit être sérieusement inquiète pour la « santé mentale de la duchesse » depuis un certain temps. Les récentes attaques de la presse britannique à l’encontre de Meghan Markle auraient achevé de provoquer chez l’actrice des crises d’anxiété et un sentiment proche de la « dépression ».
Du coup, Dame Ragland, avait-elle reconnu, avait soutenu dès les premières heures, le projet de sa fille et de son gendre de se départir de l’étiquette royale, afin de se construire au Canada « une vie loin de tout ce stress ». Mais restait un obstacle et non des moindre à franchir ; obtenir l’assentiment de la Reine.
Ce lundi, la Reine dans une de ses rares déclarations publiques, annonçait ; « Ma famille et moi soutenons entièrement le désir de Harry et Meghan de créer une nouvelle vie en tant que jeune famille. (…) nous respectons et comprenons leur souhait de vivre vie plus indépendante en famille tout en restant une partie appréciée de ma famille ». Et Doria Ragland ne pouvait que s’en féliciter pour sa fille. Mais sur l’indépendance financière réclamée par le Duc et la Duchesse de Sussex, la Reine avait tranché, expliquant que si le conseil familial avait approuvé « une période de transition pendant laquelle les Sussex passeront du temps au Canada et au Royaume-Uni » ; les questions financières restaient « des questions complexes » pour lesquelles « il y a encore du travail à faire ».