Samedi dernier, une jeune adolescente du nom de Mila a déclenché une vive polémique sur les réseaux sociaux. Une polémique sur fonds de religion. La jeune fille connue pour lesbienne et outrée par un internaute trop insistant avait un peu trop rudement recadré ce dernier et s’en était pris un peu trop ouvertement à l’Islam. Elle avait tenu des propos peu engageants envers l’Islam et avait essuyé une averse de menaces de la part des internautes.
Ce samedi 18 janvier, la jeune demoiselle âgée de 16 ans avait lancé un live en ligne sur son compte Instagram. L’objectif était de partager avec les internautes sa passion. Un internaute un peu trop insistant avait alors commencé à la draguer de façon trop insistante. Celle-ci avait alors essayé de le remettre à sa place. Mais l’internaute s’était emporté et avait lancé contre la jeune fille des accusations de raciste et d’islamophobe.
Des propos plutôt polémiques
Cette dernière s’était alors emportée et avait répondu à l’internaute avec des propos choquants, maladroits et très déplorables. Elle s’était carrément enflammée : « Je déteste la religion, le Coran il n’y a que de la haine là-dedans, l’islam c’est de la merde, c’est ce que je pense », déclarait-elle face en direct face à la caméra.«Je ne suis pas raciste, pas du tout. On ne peut pas être raciste envers une religion. Votre religion, c’est de la merde, votre Dieu, je lui mets un doigt dans le trou du cul, merci, au revoir » avait-elle poursuivi.
Des propos qui avaient suscité un tollé au sein des internautes et déclenché la colère de certains. La jeune femme avait alors reçu une série de menaces ouvertes. Des menaces, il en pleuvait de partout et de toutes sortes. Sur le site féministe Bellica, Mila confie recevoir plus de 200 messages de menaces chaque minute. Des menaces qui ont suscité l’indignation de certains internautes qui ont alors créé un hashtag #JeSuisMila pour la soutenir. Un hashtag repris par des centaines d’internautes car en France, le blasphème n’est pas interdit. Même des personnalités d’extrême droite telles que Marine Le Pen et Jean Messiha ont apporté leur soutien à la jeune fille.
Marine Le Pen s’offusque des condamnations dont la jeune fille fait l’objet et estime qu’elle n’avait pas à supporter tout ça. «On peut trouver ça vulgaire, mais on ne peut pas accepter que, pour cela, certains la condamnent à mort, en France, au XXIe siècle », se désole la présidente du Rassemblement National.
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