Tension Iran – USA : l’Afrique du Sud appelle au calme

Les USA le 02 janvier dernier lançait une attaque nocturne de drone sur l’Iran et tuait Qassem Soleimani, commandant de la Force Al-Qods du Corps des Gardiens de la révolution islamique et l’une des figures les plus puissantes de la république islamique. Le gouvernement sud-africain, par la voix de Naledi Pandor, ministre des Relations internationales, rejoignait dans son élan la communauté internationale, et appelait à plus de tempérance au Moyen-Orient.

L’Afrique du Sud aussi craint l’escalade

Faisant écho à la communauté internationale, des dirigeants africains ont eux aussi donner de la voix et dit leur inquiétude quant à la situation au Moyen-Orient, depuis l’attitude très va-t’en guerre qu’avait adoptée le président américain dans sa gestion de la crise avec l’Iran. Une attaque aérienne américaine frappait la république islamique en plein cœur de son dispositif militaire, jeudi dernier,  et il y avait fort à parier qu’un tel acte ne  resterait sans pas riposte de Téhéran.

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Mais à la suite de l’Egypte, l’Afrique du Sud montait lui aussi au créneau par la voix de son ministre des Relations internationales, Naledi Pandor, pour dire toute la concerne des pays africains, dans le déclenchement d’un conflit au Moyen-Orient qui pouvait avoir des répercussions insoupçonnées sur la paix et la sécurité mondiale. Selon la ministre sud-africaine, «Il est essentiel que toutes les parties restent calmes et renoncent à prendre toute autre mesure qui aggraverait la situation déjà fragile ».

Naledi Pandor, exhortant les parties à adhérer à la déclaration du Conseil de sécurité des Nations Unies de décembre et à recourir au  « dialogue politique plutôt que de recourir à la force».

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